Fayl-Billot : Baladins cherchent choristes

faylagbaladin32511Fayl-Billot

Baladins cherchent choristes

Dernièrement, l’ensemble vocal « Les Baladins » de Fayl-Billot a tenu son assemblée générale sous la présidence de Bernard Aubry, membre sortant du bureau qui n’a pas souhaité poursuivre dans ses fonctions.

Les Baladins auront passé une année difficile en connaissant les arrivées et les départs de plusieurs chefs de chœurs. De ce fait, le concert annuel n’a pas pu avoir lieu en 2013, ni autres manifestations locales ou à l’extérieur. Toutefois, les Baladins n’ont pas baissé les bras. Même sans chef de chœurs, les différents pupitres se sont retrouvés le vendredi soir pour poursuivre les répétitions et ainsi ne pas perdre leurs acquis, mais aussi en participant à Vocal Forum, tout en recherchant activement un nouveau chef de chœur. C’est chose faite depuis peu puisque, suite à deux candidatures, les Baladins ont choisi Graziella Dorangeon, nouvelle professeur de musique au collège et pour qui, une indemnité kilométrique sera versée par mois. Depuis, les répétitions ont lieu chaque lundi à 20 h 15 mais divers créneaux horaires sont cependant envisagés notamment pour les temps forts avant concert ou chorégraphies. Aujourd’hui, Les Baladins comptent 24 choristes et sont ouverts pour en accueillir d’autres, notamment des ténors. Tous sont prêts a reprendre un bon rythme et ont déjà programmé leur concert annuel les 6 et 7 juin 2015 à l’amphithéâtre du lycée. Les cotisations ont été maintenues aux mêmes tarifs à savoir : 35 euros pour un adulte, 60 euros pour un couple, 65 pour un couple avec enfant(s) et 15 euros pour les moins de 18 ans. Les tarifs pour le concert sont également les mêmes : 7 euros pour les plus de 12 ans et 3 euros pour les moins de 12 ans.

Du changement aussi au sein du bureau suite aux élections. Bernard et Marie-Claude étaient sortants et ont choisi de ne pas se représenter. Aussi, Isabelle Fréquelin, qui n’est plus membre des Baladins était aussi à remplacer.

Au nouveau bureau :

Emmanuel Maillarbeaux président, Danielle Midy vice-présidente, Éliane Hutinet secrétaire, René Méchet trésorier, Josiane Morlon, Geneviève Girod et Michel Zurfluh membres.

Renseignements au 03.25.88.65.78.

Les fruits du travail

DSCN9830Les fruits du travail

Éric Méot est producteur de cassis depuis vingt-huit années et, en 2007, il prend un virage à 180° et décide de s’orienter vers la culture bio. Il est installé à Sacquenay. C’est un passionné de la baie noire et de la production de fruits.
Éric Méot répond à nos questions :
Quel est votre parcours ?
J’ai planté mon premier arbre à 18 ans. J’ai ouvert le camping de la Chênaie à Sacquenay il y a 24 ans. A l’âge de 51 ans, j’ai quitté mon emploi d’ouvrier d’entretien de la voie publique de la commune. Je me suis installé d’abord en conventionnel, puis en agriculture raisonnée et enfin en bio sur un verger de 12 hectares répartis en plusieurs parcelles qui constituent l’exploitation. Cette exploitation compte 8 hectares de cassis et 1 700 arbres fruitiers. Mes enfants sont fiers de mon parcours.
D’où vient votre vocation ?
J’adore cultiver les fruits et greffer les pommiers. J’aime perpétuer les variétés anciennes par greffes, en particulier, celles cultivées par mon père. Je cultive 27 variétés de pommes anciennes et modernes. Je produis 8 tonnes de pommes et je cultive le cassis. Je traite avec des décoctions de plantes et des huiles essentielles.
Pourquoi vous êtes-vous converti en bio ?
J’ai voulu relever le défi du bio. Je voulais produire quelque chose de proche des valeurs qui sont maintenant les miennes depuis trois ans. J’ai complètement changé mes habitudes, ma façon de travailler et j’ai accepté les contrôles très fréquents. La culture bio nécessite trois fois plus de travail et on récolte trois fois moins de fruits. Mais malgré ces contraintes, c’est le résultat qui compte. La qualité est au rendez-vous et on gagne en arômes, en qualités gustatives avec un fruit naturellement sucré.
Pourquoi vous installez-vous comme liquoriste ?
Je désirai élargir la gamme de produits que je propose. L’alcool gagne très peu d’argent, la crème de cassis bio, élaborée avec un cassis cultivé en 100 % bio, fait partie d’un assortiment de produit que je propose et transforme moi-même : confitures, compotes, jus de fruits. Le métier de liquoriste est très exigeant et demande beaucoup d’attention. Je propose un produit de grande qualité gustative qui possède une forte concentration en fruit.
J’ai fait 80 000 € d’investissement, en électricité et matériels pour mon atelier et 200 000 € pour mon hangar construit de mes propres mains, au fil des années, lorsque je le pouvais.
Les produits sont vendus à Sacquenay chez Eric Méot, 16 rue du 19 mars tel : 06.87.35.15.82 – eric.meot @wanadoo.fr et chez Locavore 34 boulevard Eugène Fyot à Dijon

Dédicaces à Champlitte

Dédicaces à Champlitte
Samedi, Guy Girard et Gérard Lambert, tous deux auteurs francs-comtois ont dédicacé leurs ouvrages à la librairie tabac presse, nommée: « Des délices et des lettres » installée rue pasteur à Champlitte.
Guy Girard a présenté notamment son dernier ouvrage « D’ombre et de lumière paru aux éditions »ç » et Gérard Lambert a présenté : « Vu de l’intérieur » paru aux éditions Gunten.
280 à 300 personnes sont venues samedi à la librairie. Une vingtaine de lecteurs se sont montrés intéressés.

Les missions de l’Ail’e

Les missions de l’Ail’e
Vendredi s’est déroulé à Champlitte la première assemblée générale de l’Ail’e, association Intercommunale pour l’enfance présidée par Christian Boudot. Cette association intercommunale a pour mission la gestion de la future micro crèche, la gestion de la cantine et du périscolaire.

L’Ail’e, gérera le fonctionnement de la future micro crèche dont les travaux sont financés par la CC4R à hauteur de de 250 000 € HT pour l’investissement cofinancé par la CAF et le conseil général. Le projet pédagogique de la future micro crèche est basé sur la méthode Montessori. La pédagogie Montessori est une méthode d’éducation dite ouverte, par rapport aux méthodes dites fermées ou traditionnelles, telle que l’enseignement mutuel. Sa pédagogie repose sur l’éducation sensorielle de l’enfant, les enfants apprennent l’autonomie. Dans la pédagogie Montessori, l’éducation est considérée comme une « aide à la vie ». L’option d’utiliser des couches lavables a été choisie.

L’Ail’e gère la cantine. Le conseil général de la Haute Saône verse une subvention de 50 centimes par repas. La subvention des communes est de 3 € par repas. Le prix du repas va augmenter de 30 centimes à partie du 1er janvier. 5 040 repas sont servis par an. La restauration le mercredi midi se déroule au restaurant le Donjon.

L’Ail’e gère l’accueil périscolaire à Champlitte. Les trois temps de garde du matin, du midi et du soir lui sont confiés. Les Nouvelles Activités Périscolaires lui sont confiées. 138 élèves participent aux NAP. Les NAP sont gratuites pour les élèves. D’une durée d’une heure et demie en élémentaire, les ateliers sont organisés les mardis et le jeudi pour les CP et les CE de 14h55 à 16h25 et les lundis et le vendredi de 14h 55 à 16 h25 pour les CE2-CM. Côté maternelle, les activités se déroulent de 13h25 à 13h55, adaptées à chaque classe d’âge.

La chaîne des mille grues

DSCN9812La chaîne des mille grues (pliage en papier selon la technique de l’origami), création et vente, est mise en place tous les samedis jusqu’au 6 décembre, à la ­bibliothèque municipale, au prix de 0,50 centime en ­faveur du Téléthon.

Celles qui seront confectionnées rejoindront celles qui sont déjà pendues à la ­bibliothèque.

La légende des mille grues est originaire du Japon, où l’origami est très pratiqué, qui raconte que si l’on plie mille grues en papier dans l’année, retenues ensemble par un lien, on peut voir son vœu de santé, longévité, d’amour ou de bonheur exaucé.

Certaines sources disent qu’au bout des mille grues ça n’est pas un souhait mais mille qui sont accordés.

Fontaine-Française : se rencontrer pour mieux travailler ensemble

Dernièrement, à la Maison du Val de Vingeanne, à Fontaine-Française, s’est déroulée une rencontre entre les secrétaires de mairie, les élus et les services sociaux qui interviennent sur le territoire du Val de Vingeanne ou qui y tiennent une permanence. L’objet de cette réunion était de faire ­connaître et se rencontrer les partenaires et leurs champs d’action.

De nombreux services interviennent quotidiennement auprès des habitants des communes, des premières heures de la vie pour le médecin de PMI à un âge avancé avec les services d’aide à domicile, portage de repas ou assistantes sociales spécialisées pour monter les dossiers d’Allocation personnalisée d’autonomie.

Les élus et les secrétariats de mairie sont parfois interrogés ou confrontés à des problématiques qui nécessitent une prise en charge particulière.

Lors de cette rencontre, ils ont eu tous les renseignements nécessaires pour pouvoir orienter efficacement les habitants auprès des structures et organismes compétents.

Plusieurs intervenants ont présenté leurs actions : la Mission locale de l’arrondissement de Dijon, structure qui accueille les jeunes de 16-25 ans, les services du ­conseil général (médecin de PMI, assistantes ­sociales, chargée de mission insertion, de l’APA), le service d’aide à domicile Atome et Stéphanie Del Vecchio, chargée de mission Habitat du Pays plaine de Saône Vingeanne. Les élus ont remercié les participants pour leur présence, leur implication sur le territoire et ont souhaité que ce partenariat perdure pour continuer à proposer à tous les habitants l’ensemble des services nécessaires en milieu rural

Tous unis pour le Téléthon

Tous unis pour le Téléthon

Le programme du Téléthon a été mis en place pour tout le canton. Des rendez-vous ont été fixés dans différentes communes de façon à mobiliser le maximum de personnes.
Vendredi à la maison Sainte Élisabeth, a eu lieu la dernière réunion du téléthon du Val de Vingeanne organisée par l’association Les P’tiots d’abord afin de mettre au point le programme définitif du Téléthon en présence de Nicolas Urbano conseiller général, maire, président de la communauté de communes du Val de Vingeanne. Toutes les associations du canton de Fontaine-Française qui désirent s’investir dans le Téléthon du Val de Vingeanne ont participé à cette réunion de coordination.
Hubert Euvrard directeur de la Maison Sainte Élisabeth a accueilli les participants, a présenté l’établissement, et l’Ordre de Malte France.
Christian Chaudouet, coordinateur du téléthon pour le département de la Côte d’Or a présenté l’AFM Téléthon.

Le vendredi 5 décembre :
16 heures : ouverture de la buvette et snacks (Les Amis de Saint Mô).
16 h 30 à 19 heures : L’AEC organise une tombola pour gagner un panier garni au collège
De 16 h 30 à 18h30 : Atelier du Père Noël, confection de petits objets de Noël par les enfants de l’école maternelle.
19 h 30 : loto organisé par le Judo-Club et les P’tiots d’abord, à la salle polyvalente de Fontaine (tél. 03.80.75.98.76 et 06.89.79.81.04). Ouverture des portes à 18 heures.
20 heures : Match de football, avec le FCV à Fontaine Française.

Le samedi 6 décembre :
Fil rouge : une course aux bouchons est organisée dans chaque village du canton. Départ depuis chaque mairie de 10 à 12 heures avec récolte de bouchons auprès des habitants du canton.
Toute la journée : le ­Moto-Club de Chaume mettra en vente des boules de Noël, de 8 h 30 à midi et de 14 à 17 heures (départ de la salle polyvalente).
8 h 30 à 12 heures : vente de soupes chaudes et tombola par la G3V sur la place Henri IV à Fontaine-Française.
9 à 12 heures : L’atelier couture met à disposition, un mannequin en robe longue sur lequel il faudra compter le nombre de boutons
9 heures à 12 heures : vente de sapin sur réservation, par l’association Fête en folie sur la place Henri IV à Fontaine Française.
De 9 à 11 heures : l’association Amitié Rencontre proposera deux circuits de marche (départ des circuits depuis la salle polyvalente), ainsi que la vente de gâteaux.
De 10 à 12 heures Animation sarbacane à la Maison Sainte Élisabeth
De 10 à 16 heures : cuisson à l’ancienne de pain ou de préparations effectuées par les particuliers dans un four à pain, ruelle Obertin à Bourberain, avec la participation de Pizza à ma façon.
14 à 16 heures : organisation de jeux par l’association le Prés au clair à Fontenelle
15 heures : Concert de Gregory jeune chanteur, entrée gratuite, buffet – buvette à la salle des fêtes de Montigny organisé par l’association Au cœur de la Vingeanne.
20 heures à 22 h30 : repas couscous à 20 €, boissons non comprises. Tel. : 06.82.63.98.58 ou 06.03.24.13.55 avant le 2 décembre
Le 21 novembre se déroulera la soirée Beaujolais (Les Amis de Saint Mô). 15 €. Tel 03.80.75.93.76

Un « Terroir » dédié aux poilus

Après la cérémonie du 11 novembre, Jean-Pierre Bernardet, président de la Société historique et touristique de la région de Fontaine-Française, a présenté un numéro spécial de la revue Terroir dédié aux poilus. Celui-ci a été réalisé à partir de carnets authentiques de deux ­soldats du département ayant tous deux rejoints le 21e régiment d’infanterie de Langres et participé aux combats.

Jean-Pierre Bernardet a précisé : « Nous préférons, pour ce qui nous concerne, évoquer, en ce 11 novembre, le 96e anniversaire de l’armistice de 1918. C’est en effet à cette date qu’ont pris fin quatre longues années de souffrances. La Société historique se devait, à l’occasion de cette commémoration, de rendre hommage à nos poilus et de rappeler le sacrifice de ceux dont les noms sont inscrits sur nos monuments.

« Nous disposions d’un document photocopié : les carnets de guerre de Charles Magnien et d’une autre source, le carnet de guerre d’un poilu de Fontaine-Française, Léon Guillaume, tous deux ayant été mobilisés le même jour au 21e RI de Langres.

« Le comité de rédaction, autour de Catherine Baradel, s’est mis au travail, l’objectif étant d’utiliser au mieux ces documents inestimables pour témoigner du vécu par nos deux poilus bourguignons de la guerre, leur guerre. »

Et d’ajouter : « La plume de Pierre Rameau, les superbes prises de vues d’Hervé Robert, l’œil exercé des correcteurs, sans oublier le talent de Didier Martory, notre imprimeur avec qui nous travaillons depuis l’an 2000, ont permis d’aboutir à ce n° 149 de Terroir qui leur est entièrement dédié. »

Cette présentation a été suivie de l’apéritif offert par la municipalité de Fontaine-Française.

Portait d’un poilu : Claudius Parize

La grande guerre est restée inscrite dans la mémoire collective. Les monuments aux morts présents dans les communes en sont le signe.
Le onze novembre honore les soldats morts pour la France. Le souvenir des poilus revenus de la grande guerre parvient jusqu’à nous grâce à des témoignages, des documents et l’art des tranchées. Pour beaucoup cette guerre a transformé leur vie. Ainsi Claudius Parize (1891-1969) de Saint Maurice sur Vingeanne. Originaire de Montagny les Beaune il a été appelé pour son service militaire en 1911, il a effectué 3 ans sous les drapeaux au 10 ème régiment d’infanterie avant d’être mobilisé en 1914. Il a rencontré sa future épouse dans un train qui l’emmenait au front. Il épousera Julia Brulé, de Saint Maurice sur Vingeanne, pendant une de ses permissions en 1917. Cette année-là il a assuré ses services de téléphoniste pendant les combats sous un bombardement intense et continue pendant 10 jours, ce qui lui a valu une citation et la croix de guerre. Il survécu à une attaque d’hypérite (gaz moutarde), enseveli sous une tranchée au moment de l’attaque, il a respiré moins de gaz que ses camarades qui sont décédés gazés. Un de ses poumons a été touché, il a fini la guerre à l’arrière et non plus en première ligne.
Lors de ses périodes de repos entre les combats, il réalisait de l’art des tranchées avec les obus, les balles et les boucles de ceinture des soldats allemands. Au cours de sa vie dans les tranchées Claudius a été gazé comme de nombreux soldats. En plus des nombreux objets qu’il a façonné vases, crucifix, des couverts, des ronds de serviettes et des bagues, Claudius a rapporté une serviette d’un vaguemestre allemand qu’il avait fait prisonnier et son pistolet. Il avait aussi récupéré un bidon sur un soldat mort, ce qui lui permettait d’avoir double ration de vin lors des distributions.
Il a été démobilisé en 1919, après 8 ans parti de chez lui, d’après son livret militaire. La guerre a bouleversé sa vie d’ouvrier agricole dans les vignes, il est devenu agriculteur à Saint Maurice, en cultivant les terres de son épouse et en fondant une ferme. Les horreurs de la guerre ont touché les familles des tués à la guerre, et les survivants de la grande guerre en ont gardé les stigmates. Il a appris la chanson de Craonne à une de ses petites nièces en souvenir de ses camarades tombés au front. Il a chanté cette chanson, mais il n’a pas fait partie des mutinés. Pour lui Pétain était un héros, jusqu’à la seconde guerre mondiale. Il voulait retourner sur la tombe de ses amis à Verdun. Dans sa mémoire ils étaient toujours vivants. Le « père Parize » comme on l’appelait au village était un jeune homme fringant, moustachu au teint coloré coiffé avec une raie au milieu. Le vieil homme qu’il est devenu avait les traits alourdis et portait une ceinture de flanelle pour le soulager de ses douleurs dorsales, avec un pantalon bleu, une chemise à carreaux en coton gratté et un bourgeron bleu, comme beaucoup de paysan de son époque.
Pour les poilus survivants, la vie a continué avec le souvenir de leurs camarades morts commémorés à chaque 11 novembre, les souvenirs et les objets ramenés du front entretiennent également cette mémoire.

Veronnes : le monument aux morts inauguré place de la Mairie

La commémoration du 11 Novembre, organisée par la municipalité, a été marquée par le déplacement du monument aux morts érigé en 1923 au carrefour des routes de Chazeuil (RD 28), d’Orville (RD 12d), de Lux et de Til-Châtel (RD 28c) vers la mairie en face de l’église.

Cette inauguration s’est tenue en présence de Charles Barrière, représentant François Sauvadet, Gérard Leguay, conseiller général de Selongey et Geneviève Rouvet, vice-présidente du comité dijonnais du Souvenir français. Les travaux de restauration et de déplacement de l’édifice ont coûté 13 380 € ; 1 600 € ont été donnés par le Souvenir français, 1 600 € par l’Onac, 3 540 € de la DETR (État) et 4 640 € de la commune.

Ce déplacement a été décidé afin de rénover le monument et pour sécuriser le carrefour grâce à un nouvel aménagement. Le but étant également de créer des trottoirs. Les enfants ont chanté La Marseillaise et la cérémonie s’est terminée par un ­lâcher de ballons.