Chassé-croisé en terres chanitoises
Actuellement, Pernelle Polpré, restauratrice spécialisée dans les matériaux organiques restaure les animaux naturalisés et les objets ethnographiques du musée des arts et traditions populaires de Champlitte. Durant cette semaine, Pernelle Polpré a restauré le loup, le chat sauvage et le renard.
« Je répare les dégradations dues aux variations climatiques, aux techniques de naturalisation, à la lumière qui décolore le poil des animaux. L’objectif étant de stabiliser les altérations sur les animaux naturalisés fin XIXème et début du XXème siècle. Il s’agit de prolonger leurs durées de vie et leur redonner de l’éclat en remettant en teinte babines et yeux, pour se rapprocher de la nature. » : précise Pernelle Polpré
Pernelle Polpré a des références, elle a déjà travaillé pour le musée des arts premiers du quai Branly à Paris et pour le musée d’histoire naturelle de Paris notamment.
Ces animaux ont déjà été exposés et seront remis en valeur dans le cadre d’une exposition sur la chasse intitulée : « Chassé-croisé » qui aura lieu du 24 juin au 5 novembre au château de Champlitte, en partenariat avec le musée de la chasse et de la nature de Paris. Cette exposition offrira un panorama sur l’histoire de la chasse de la Renaissance à nos jours. Des pièces anciennes et contemporaines seront exposées à cette occasion. Le musée des Arts et traditions populaires compte 35 000 objets. Les expositions sont l’occasion de choisir une thématique en restaurant des objets choisis en fonction du thème voulu pour l’exposition annuelle.
« Le musée départemental des arts et traditions populaires de Champlitte n’est pas seul, le personnel du département travaille en réseau. Une véritable synergie est mise en place en amont des expositions avec des prestataires extérieurs comme Pernelle Polpré pour restaurer les collections, entretenues durant les trois mois de fermeture d’hiver par les agents du département de la Haute Saône. » : confie Julie Chevailler directrice des musées départementaux.
Le rôle du musée d’art et traditions populaires a pour but la médiation, en créant des évènements en faveur de la culture en direction du public et également la conservation pour pérenniser les collections.
Mois : avril 2017
La foire de printemps se prépare à Fontaine-Française
La foire de printemps se prépare
Les membres de l’Union des Commerçants Artisans et Industriels (UCAI) de Fontaine Française, se sont réunis mercredi au magasin Fleurs et Tralalas, place Henri IV pour préparer la foire de printemps. Cet évènement se déroulera le dimanche 30 avril, place Henri IV et de nouveau rue Dominique Guérin et rue de la de la Maladière. Une quarantaine d’exposants sont attendus. Voitures, artisanat, bijoux, vêtements, chaussures, maroquinerie, métiers de bouche, charcuterie, vins, bonbons, lavande, olives, noix de cajou seront de la fête, Une voiture ancienne de prestige : une Excalibur sera exposée. La fête foraine sera présente place Henri IV avec Casino, Niagarachute, manège pour enfants, trampoline, confiserie, grue, pêche aux canards et crève ballons, manège pour enfants, et auto-tamponneuse. La fête foraine sera également ouverte le premier mai Buvette et entrée gratuite sont de mises.
Chasse aux œufs à Orville
Un séjour fort apprécié
Le séjour en Ardèche organisé par la communauté de communes du Mirebellois et Fontenois bat son plein.
15 jeunes du secteur jeunes de Fontaine-Française sont au camping Aluna vacances à Ruoms en mobil-home. Le transport s’effectue via les mini-bus de la communauté de communes. Visite de la Caverne du Pont d’Arc, piscine du camping, randonnée dans le bois de Païolive, canoë, visite de villages pittoresques, un programme apprécié avec le soleil généreux.
Une belle histoire à Chaume
Colette Laprévote, habitante de Chaume, commune de Chaume et Courchamp, possède une superbe azalée aux multiples fleurs. « Cette azalée, m’a été offerte par Martine et claude Guenin de Fontaine-Française, à l’occasion de ma greffe de rein, effectuée en 2005 au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Dijon. Cette greffe de rein m’a offert une deuxième vie. » confie Colette Laprévote.
« La plante se porte aussi bien que mon rein, j’espère que cela va durer. » : ajoute Colette Laprévote
Denis Zinte
Denis Zinte
Denis Zinte est décédé brutalement le 18 avril 2017 a l’age de 69 ans.
Il est né à Nancy le 10 janvier 1948, il est arrivé très jeune avec sa famille à Auberive (52). Il est resté à Aubrerive jusqu’en 1970.
Le 3 octobre 1970 il épouse Mauricette Soldati à Cussey les Forges et de leur union est née leur fille Emmanuelle.
Après être venu habiter à Orville, il a occupé la fonction de mécanicien aux Charpentes métalliques Auer à Occey (52) de 1970 à 1973.
Ensuite, il a été embauché à l’usine SEB à Selongey, comme contrôleur dans un premier temps puis comme comme gardien jusqu’au 31 mars 2005 date à laquelle il a pris sa retraite. Il adorait la chasse qu’il a abandonnée l’an dernier pour raison de santé ainsi que la pêche qu’il pratiquait encore un peu. Toujours prêt à rendre service, il laissera un grande vide autour de lui
Fontaine-Française : son histoire au fil des rues
Fontaine-Française: son histoire au fil des rues
L’histoire de l’urbanisme de Fontaine-Française à l’honneur
L’histoire de l’urbanisme à Fontaine-Française a été étudiée et présentée dans le prochain numéro de la revue Terroir de la Société historique et touristique de la région de Fontaine-Française. Cet article est cosigné par Catherine Baradel-Vallet et Jean-Pierre Bernardet.
La Société historique et touristique de la région de Fontaine-Française, poursuivant ses recherches sur le patrimoine local, va publier très prochainement un numéro spécial de Terroir. Fontaine-Française : son histoire au fil des rues se situe dans la continuité de la publication de 2012 sur Le château de Fontaine-Française : de la forteresse à la demeure de plaisance. Parallèlement à l’évolution de l’architecture castrale, cette précédente brochure s’intéressait plus spécialement aux grandes figures et aux grands événements qui ont marqué le passé du village, alors que le nouvel opuscule se penche spécifiquement sur les évolutions de la vie quotidienne, siècle après siècle, en matière de déplacements, d’énergies (moulins à vent et à eau, bois), d’hygiène, d’accès aux soins médicaux, de distractions, d’éducation, de solidarités villageoises,… C’est également une invitation, pour les habitants actuels ou les voyageurs de passage, à découvrir ou redécouvrir le paysage urbain, en flânant de rues en rues, en imaginant les activités d’autrefois, à l’affût des multiples traces généralement occultées par la force de l’habitude ou par la méconnaissance de leur sens. C’est encore une réflexion sur les problèmes environnementaux d’hier et d’aujourd’hui. La gestion de l’eau, la notion de pollution ne se définissaient pas au 19e siècle dans les mêmes termes que maintenant. La consommation était en grande partie de type autarcique, non seulement à partir de l’agriculture et l’élevage locaux, mais aussi de la production de charbon de bois, de l’utilisation des pierres de construction et de couverture issues des carrières municipales, de la fabrication sur place de vanneries, poteries, sabots, tissus de chanvre, métaux forgés. Le constat le plus frappant reste néanmoins celui du développement exponentiel de l’emprise urbaine, alors que la population est numériquement globalement stable depuis 350 ans. Cette présentation est enfin une proposition de méditation sur ce qui constitue la mémoire d’une collectivité à travers l’étude des dénominations associées à la voirie.
Ce numéro de Terroir est quasiment achevé et sortira prochainement. Contact : 03.80.75.97.44
La route des grands crus fête ses 80 ans
La route des grands crus fête ses 80 ans
En 1935, le conseil d’arrondissement de Beaune émet le vœu de la création d’un chemin traversant la ligne des grands crus. Faute de financement, le vœu demeure lettre morte. Mais il est ressorti des cartons en 1937 : cette fois, le gouvernement de Front populaire ayant décidé une politique de grands travaux financés par l’État, le projet est finançable. Tous : (État, collectivités, professionnels) se mettent d’accord pour mettre en œuvre un aménagement touristique permettent de mettre en valeur les richesses naturelles et gastronomiques de la Côte, de Dijon à Santenay.
Les Titines de la Côte à Bèze
Dimanche, les membres de l’association : « Les Titines de la côte », pour leur sortie mensuelle, se sont rendus à Bèze et ont visité les grottes, puis ont pris le vélorail à Champagne sur Vingeanne l’après midi. Les bèzois ont pu apercevoir les rutilantes voitures anciennes, près des grottes.