Succès pour le repas des ainés à Saint-Seine -sur- Vingeanne.

Samedi, à la salle des fêtes de Saint-Seine-sur-Vingeanne, le repas des ainés a rassemblé une soixantaine de personnes, habitants du village. Ce repas a été préparé par le comité des fêtes de la commune, cuisiné par le restaurant : L’Entrepôt de Fontaine-Française, et organisé par la municipalité.

Archives en ligne


Que pensez-vous des archives en ligne? Voici les archives du conseil municipal de Saint-Maurice-sur-Vingeanne. Aux Archives Départementales de la Côte-d’Or, il est permis de les photographier. L’idée m’est venue de les mettre en ligne sous forme de photographie. Avez-vous des suggestions?
Il s’agit des toutes premières archives de la commune. Ces dernières datent de 1790. A l’époque il s’agit alors du conseil général de la commune. Bonne lecture.

Apprendre le dessin pas à pas.

Apprendre le dessin pas à pas.

L’atelier dessin du Foyer rural de Saint-Maurice sur Vingeanne est animé par Reka Horvath, artiste hongroise et habitante du village. Les cours de dessin ont lieu un mercredi sur deux dans les pièces situées au premier étage au-dessus de la salle des fêtes de la commune.
Les cours pour enfants ont lieu de 17 à 18 heures. Les cours destinés aux adultes se déroulent de 18 à 20 heures. De plus un cours pour un autre groupe d’adultes a lieu le samedi de 10 à 12 heures toujours au même endroit.
Le matériel est fourni par le foyer rural.

Tarifs : 5 € de l’heure pour les enfants. 10 € les 2 heures pour les adultes. Une cotisation annuelle de 5 € pour adhérer au foyer rural, est demandée pour chaque participant.
Téléphone : 07.82.63.29.64

L’apôtre des Inuits

L’apôtre des Inuits : Etienne Bazin : 30 mars 1903 (Dijon) – 21 novembre 1972 (Corgoloin)
Étienne Bazin, naît à Dijon le 30 mars 1903. Son enfance est turbulente et lui vaut le surnom de «Boum». Il surprend donc sa famille en devenant séminariste à Rome. Ordonné prêtre en 1928, il choisit alors un apostolat difficile, Oblat de Marie Immaculée. Il sera missionnaire dans le grand Nord canadien. Le 16 juillet 1929, il embarque à bord d’un bateau brise-glace, accompagné d’un autre Oblat, du nom de Girard. Il débarque à Pond Inlet, village esquimau (appelé alors eskimo) situé sur le 72e parallèle Nord. S’y trouvent déjà deux maisons «civilisées», un comptoir de la Compagnie de la baie d’Hudson fondée par l’Angleterre pour acheter des fourrures et une mission anglicane quelque peu éloignée d’un esprit œcuménique.
Dix-sept ans durant, il partage l’existence des Inuits de la baie d’Hudson, près de la Terre de Baffin. Il y vit sans communication ou presque, même avec sa congrégation, sans congé, sans retour en France avant 1946. L’année suivante, il repart pour retour en France avant 1946. L’année suivante, il repart pour Igloolik dont il est brutalement «évacué» par avion, en 1948, au prétexte de sa fatigue. Il est surtout incompris de sa hiérarchie. Fondateur de la mission Saint-Étienne à Igloolik, il est le premier Blanc à vivre avec les Inuits de façon permanente et isolée, aux limites de la résistance humaine. Menant une vie simple, il mange le produit de sa chasse et de sa pêche. Lors de ses tournées, il dort avec les familles dans les igloos. Sa simplicité de vie, son humilité et son dévouement lui valent l’amitié de ce peuple, habitué au partage.
De retour définitif en France, il est nommé curé de Corgoloin. Curé de campagne, curé de village aux offices rapidement expédiés, il dessert également les paroisses alentours : Comblanchien, Prémeaux, Prissey et Quincey. Il s’engage alors sans réserve dans ce nouvel apostolat, organisant des kermesses avec vente de petits ours blancs en céramique, montant avec succès une troupe scoute. Il réside dans la cure de la rue du Petit Paris pendant vingt- quatre ans. Conformes à son image de missionnaire, sa barbe, sa pipe et sa soutane sont restées vivantes dans les mémoires bourguignonnes de la côte.

L’école monastique de Bèze au fil des siècles

L’école monastique de Bèze au fil des siècles.

L’abbaye Saint-Pierre de Bèze a été fondée en 630, deux ans plus tard cette abbaye a accueilli une école monastique. Cette école suivant la règle de Saint-Colomban est devenue rapidement un centre d’éducation et de vie intellectuelle ouvert à tous, y compris aux laïcs. En effet, l’abbaye de Bèze est une des premières abbayes à accueillir les enfants des riches laïques, enfants des seigneurs et nobles de la région. Ainsi, l’école monastique a permis la renommée de l’abbaye de Bèze, comme celle de Saint-Seine l’Abbaye, bien avant le grand siècle des abbayes : le XIe siècle. Cette expansion amena un grand nombre d’enfants entre dix et douze ans, leur nombre troublant le silence monastique nécessaire aux prières. Ce problème fut accompagné d’une pression des communes sur ladite école qui amena, vers 1280, le transfert de l’école au sein même du bourg. De plus, au XIIIe siècle l’école et l’abbaye en elle-même ont connu une grande expansion et les bâtiments ont été remis au gout du jour. C’est ainsi qu’aujourd’hui on peut admirer la belle façade gothique du XIIIe siècle de l’abbaye.

Cette façade de l’école monastique de Bèze, telle qu’on pouvait l’admirer en 1912 est visible sur la carte postale ancienne, située ci-dessus. Cette façade a failli partir pour les États-Unis en 1913. Ce bâtiment a été sauvé de la démolition et il a obtenu son classement par les Beaux-arts en 1914.

Sources : Solange de Montenay : L’Abbaye bénédictine Saint-Pierre de Bèze. Son histoire au fil des jours, publiée en 1960, par l’Association Bourguignonne des Sociétés Savantes. Gabriel Porcherot : Petit village… grande histoire ! Cet ouvrage est disponible à la mairie de Bèze. La Gazette de Bèze.

Concert à l’auditorium de l’école des 3 arts à Mirebeau sur Bèze.

Concert à l’auditorium de l’école des 3 arts à Mirebeau sur Bèze
Samedi 10 mars à 20 h 30 à l’auditorium de l’école des 3 arts Mirebeau sur Bèze aura lieu un concert intitulé : « Quartiers latins » avec Thierry Caens à la trompette et Daniel Fernandez au chant et à la guitare. En avant concert, participation d’un ensemble de Guitares et Trompettes de l’Ecole des 3 Arts, dirigé par Estelle Geley et Daniel Deroeux, professeurs de l’école. C’est un concert organisé dans le cadre d’ « Arts & Scènes », dans la saison culturelle 100% Côte d’Or proposée et financée par le conseil départemental.
Lorsque les chemins de Thierry Caens et de Daniel Fernandez se croisent, les goûts se mêlent, les couleurs se teintent, les pensées convergent.
Dans ce duo inédit, les deux artistes libres s’inspirent des quartiers latins…
De l’Espagne, resteront les harmonies et l’énergie, de la France, les mélodies et la virtuosité, pour ne faire qu’un, mais lequel des deux ?
Grâce à une guitare et une voix très ancrée dans leurs racines, alliées à une trompette intime et libre, un univers coloré se dessine, les atmosphères du sud surgissent, les grands standards revivent…

23 nouveaux habitants à Sacquenay

Vendredi, à la salle des fêtes de Sacquenay, le maire, Jean-Noel Truchot a présenté ses vœux aux 282 habitants.
Les prévisions pour 2018 consisteront principalement pour la commune de Sacquenay à se mettre aux normes avec l’accessibilité dont c’est la dernière année de tolérance de l’État. La municipalité profitera de cette mise aux normes pour rénover la mairie et le parking de l’église. Des trottoirs seront posés sur une partie du lotissement de Malgouverne et la réfection de la façade de l’ancienne poste sera poursuivie.
Les nouveaux habitants sont : la famille Hattet qui habite le prieuré, Adeline Lenet et Maxime Poncet qui habitent le logement au-dessus de la mairie, Stacey Walle et Johan Debourgogne, Bernadette et André Chevigny, Françoise Gérard, Laurie Coquard et Angelo Collot, Emilie Cribel et Frédéric Chatrian, Isabelle Holliger, Isabelle Deville, Magali Despres et Morgan Moreau, Marine Lefoll et Fabien Verbaux, Justine Barrois et Johan Gouverneur, de plus Gabriel et Adam Bourg Schmitt Bourg sont les seuls nouveaux nés de 2017.