Narcisse est resté bien évidemment au stade du miroir.

Narcisse aime dans une onde ou une glace se voir.

Abusé par l’observation de son reflet dans l’eau.

Voulant embrasser son reflet, il se noie dans le ruisseau

Saint Charlemagne, février en armes.
Pour Charlemagne, les écoliers, doivent fermer livres et cahiers.

Saint Julien brise la glace, s’il ne la brise, il l’embrasse.
Après sainte Angèle, le jardinier ne craint plus le gel.
Beau temps à la saint Julien, promet abondance de biens.

On le dit, à ma source est venue Jeanne.

Vous le savez, je suis la Vingeanne.

Parfois l’hiver, je sors de mon lit.

Le passant me regarde toujours attendri.

Dans la série de mes fiches de lectures, partagées avec vous chers lecteurs, j’ai choisi : Des délits et des peines de Cesare Beccaria.

C’est une union de pensée avec les auteurs de la revue Terroir, car j’avais commencé la lecture de livre, lorsque j’ai vu cet auteur cité dans l’article sur le cachot du château de Fontaine-Française.

Cesare Beccaria, jeune noble milanais a illuminé l’Europe, en 1764, avec un ouvrage écrit dans l’esprit des Lumières justement. Le fonctionnement du système judiciaire du XVIIIème siècle, est décrit de manière précise et efficace. Les travers du système judiciaire d’Ancien Régime sont démontés et des solutions modernes sont apportées.

Le but est de sortir de la barbarie et de l’archaïsme, et de mettre l’homme au cœur du système judiciaire. Il faut, selon le marquis Cesare Beccaria, dans Des délits et des peines, que les peines soient justes et légales. La loi doit être élaborée et votée par le législateur indépendant de l’exécutif, et appliquée par le système judiciaire. Pour Beccaria la torture est absurde. La peine de mort doit être abolie.

Ce petit traité jette les bases du système judiciaire moderne.

Comme chaque année, depuis l’an 2000, la paroisse de Selongey a organisé la fête patronale de saint Rémi (commémoré le 15 janvier).

Pour cette 21e édition, rien n’aurait pu empêcher , ni la pandémie, ni la neige, ce temps fort paroissien devenu institution à Selongey.

Dès 10 heures, dimanche 17 janvier, un groupe de fidèles avait rendez-vous devant le presbytère pour débuter la procession et honorer son saint patron.

Le joyeux cortège, muni de la bannière et de la statue de saint Rémi, s’est rendu de la maison paroissiale à l’église où la messe fut célébrée par le père Étienne Clément, curé de la paroisse de Selongey et Fontaine-Française. Cette célébration est traditionnellement suivie d’un verre de l’amitié et d’un repas fraternel, qui n’ont malheureusement pu avoir lieu en raison des restrictions sanitaires. Néanmoins, comme la tradition l’exige, à l’issue de la messe, la statue de saint Rémi a été confiée à une nouvelle famille de la paroisse pour l’année 2021 ! La statue a été transmise par Jean-Rémi et Françoise Louet à la famille Vauthier dont Loi, le petit dernier, est inscrit à la catéchèse de la

La cloche de l’église de Foncegrive a été baptisée samedi 9 février, après plusieurs mois de rénovation.

Samedi 9 janvier, lors de la messe de 18 heures en l’église de Foncegrive, Père Etienne Clément, de la paroisse de Selongey, a béni et baptisé la cloche de l’église qui revient de quelques mois de rénovation. La cloche communale en bronze de 300 kg et datant de 1728 a fait l’objet d’une réfection de février à octobre 2020. Le point de frappe de la cloche, usé, a été démonté « afin d’éviter une fissure. Il convenait de procéder à la recharge des points de frappe », indique Didier Mignotte, maire de la commune. Le battant de la cloche, ancien et fait d’un acier trop dur, a usé cette dernière.

Les travaux de dépose et de repose ont été opérés par l’entreprise Frotey et la réparation de la cloche par la fonderie Bollée, située à Strasbourg. Cette rénovation a coûté 6 570 € HT, avec subvention de 1300€.

Une cloche jamais baptisée

La cloche n’ayant jamais été baptisée, cette rénovation a permis au Père Etienne Clément de baptiser et bénir la cloche avant sa remise en place. La dame de bronze a désormais pour nom « Thérèse » et a pour parrain Didier Mignotte, maire de Foncegrive et Thérèse Chanussot, qui œuvre depuis longtemps au service de la paroisse et de la commune. Cette cérémonie a réuni les habitants du village ayant répondu à l’invitation, ainsi que les fidèles de la paroisse. Au total, entre trente et quarante personnes ont assisté à la cérémonie.

L’intérieur de l’église de l’Assomption va être restauré à Licey-sur-Vingeanne.

Après l’extérieur, qui a été rénové il y a cinq ans, c’est l’intérieur de l’église de Licey-sur-Vingeanne qui va bientôt connaître une deuxième jeunesse. Les travaux devraient débuter en février.

L’église de l’Assomption à Licey-sur-Vingeanne sera bientôt entièrement rénovée. Alors que les travaux concernant l’extérieur de l’édifice avaient été réalisés en 2015-2016 pour un coût de 202 860 € HT, c’est désormais l’intérieur qui va faire l’objet d’une restauration complète.

Un appel aux dons est lancé

Les travaux, qui devraient commencer autour du 15 février, concerneront l’électricité, les enduits, les sols, mais aussi les bancs, les estrades ainsi que les statues et le mobilier.

« On espère que les travaux soient finis pour cet été », indique Dominique Matiron, maire de Licey-sur-Vingeanne, à qui il tient à cœur de restaurer ce bâtiment cultuel construit dans la deuxième moitié du XIXe siècle.

Le coût du chantier de cette seconde tranche s’élève à 95 259 € HT, financés par la Dotation d’Équipement des territoires ruraux (DETR) à hauteur de 30 000 € et par le conseil départemental (21 000 €). Par ailleurs, une campagne de souscription publique a été lancée en lien avec la Fondation du patrimoine, et le conseil régional apportera une aide équivalente à la somme qui sera collectée via cette souscription.

À noter que les donateurs pourront bénéficier d’avantages fiscaux incitatifs et que la Fondation du patrimoine pourra apporter un financement complémentaire en fonction du montant collecté.

Pour l’heure, 900 € ont été collectés, sur un objectif de 15 000 €.

Pour faire un don : http://www.fondation-patrimoine.org/37267

Ce sont des objets d’études, ce sont les solides.

Ils sont dessinés, ils peuvent être des bolides.

La géométrie s’en mêle, il y a les cubes.

Enfant je dessinais des solides.

Mes préférés sont les apéri-cubes.

C’est drôle. Ce n’est jamais sordide.

C’est drôle, des solides je fais la pub.

Cette chanson pourrait être un tube.

La sainte Mélanie, de la pluie en veut mie.
Sainte Paule sec et beau, remplit greniers et tonneaux.