Grey Poupon est une marque de moutarde de Dijon commercialisée principalement sur le marché américain. Crée en 1777 par Maurice Grey, en France, Grey Poupon est une marque commerciale du groupe Unilever.

Le visiteur trouvera cette marque mythique à la boutique Maille rue de la Liberté à Dijon.

Cette marque est commercialisée aux États-Unis.

Je ramasse l’écorce du bois,

Pour allumer un feu de roi,

Je me chauffe au coin du feu,

C’est le soleil d’hiver de mes aïeux.

À la sainte Delphine, mets ton manteau à pèlerine.

Les usines Pétolat père et fils étaient situées à Dijon. Ce sont des constructeurs de matériel pour entrepreneurs et industriels et de matériel pour chemin de fer et tramways. La société est le fournisseur des grandes administrations de l’état et des compagnies de chemins de fer.

• chemins de fer portatifs à pose rapide, voie de 50 cm, 60 cm , 70 cm
• wagonnets en acier
• locomotives pour voies étroites
• wagons et voitures pour voies de 1,00 m
• grues
• broyeurs, pompes …

En 1883, création de l’usine Boilot-Pétolat qui construit des véhicules ferroviaires puis des remorques routières. En 1968, rachat de l’usine par la firme parisienne « Manubat ».

y a 2 sites :

• 32 : Avenue de Stalingrad, à la place Erhel Hydris(fermée fin 2012) (après France Télécom depuis la place Saint Exupéry )
• 71: Avenue du drapeau, à la place du collège Gaston Roupnel et des immeubles avant le parc du drapeau. (fabrique des roues des wagons).

Bientôt Noël.

En voici un de darré lai faigots, tiré des Noëls Bourguignons de Bernard de la Monnoye:

Lor qu’an lai saizon qu’ai jaule,

Au monde Jésu -Chri vin,

L’àne et le beu l’échaufin

De Lo sôfle dans l’étaule.

Que d’àne et de beu je sai,

Dans ce royaume de Gaule,

Que d’àne et de beu je sai,

Qui n’an airein pa tan fai!

On di que cé pôvre béte

N’ure pa vu le Pôpon,

Qu’elle se mire ai genon,

Humbleman boissan lai téte.

Que d’àne et de beu je sai

Qui po tô se fon de féte,

Que d’àne et de beu je sai,

Qui n’an airein pa tan fai!

Ma le pu beà de l’histoire,

Ce fu que l’àne et le beu,

Ansin passire tô deu

Lai neù sans maingé ni boire.

Que d’àne et de beu je sai,

Couvar de pane et de moire,

Que d’àne et de beu je sai,

Qui n’an airein pa tan fai!

Sur mes galets peints.

J’ai capturé l’automne.

Pour qu’il soit sans fin.

Déjà l’hiver à la porte sonne.

Quand sainte Catherine au ciel fait la moue, il faut patauger longtemps dans la boue.
À la sainte Catherine, tout arbre prend racine.
Pour sainte Catherine, tout bois prend racine.
À la sainte Catherine, pour tout l’hiver fait ta farine.
À sainte Catherine fais moudre ton blé, car à saint André le bief sera gelé.
Pour sainte Catherine, le porc couine.
À la sainte Catherine que le blé ait germé, que l’herbe commence à poindre.
À la sainte Catherine, les sardines tournent l’échine, à la sainte Blaise elles reparaissent.
Sainte Catherine toute fille veut la fêter, mais point ne veut la coiffer.
À la sainte Catherine, l’hiver s’achemine ; s’il fait froid, hiver tout droit.

Maman aurait 92 ans ce jour ! Elle les a quelque-part pour moi ! 🙂

les mots chantent sous ma plume.

Les oreilles et les cœurs les entendent.

Les roses de Noël font partie du décor

C’est très beau. Cela vaut de l’or.

À la sainte Flora, plus rien ne fleurira.