Un fruit à la récré.

Un fruit à la récré.

L’opération « Un fruit à la récré » a commencé mardi, au collège Henry Berger de Fontaine-Française.

L’opération « un fruit à la récré » vise à améliorer la consommation de fruits par les élèves en organisant des distributions hors repas dans les établissements scolaires.

Dans un 1er temps, ces distributions auront lieu 1 fois par semaine sur 6 semaines consécutives, à la récréation du matin ou à celle de l’après-midi.

Mardi, le collège a servi des pommes Gala bios de Savoie. Le collège recherche un producteur de Côte d’Or.

Le collège Henry Berger accorde une attention particulière à servir des produits locaux ou bios pour leur goût afin de donner envie aux élèves de consommer des fruits en dehors des repas. Cette distribution s’adressera à tous les élèves puisque cette opération ne concerne pas la cantine.
Cette opération est subventionnée à hauteur de 76% par l’Union Européenne à travers la plateforme France Agrimer du Ministère de l’Agriculture. Le principal du collège Henry Berger, Eric Vadot, a tenu à saluer le travail de Séverine Léonard, gestionnaire du collège, à l’initiative du projet, ainsi que le travail d’Isabelle Potey, agent d’accueil et de Valérie Renault Conseillère principale d’éducation (CPE), pour la distribution des fruits.

Les lauréats du Diplôme National du Brevet à l’honneur à Fontaine-Française.

Les lauréats du Diplôme National du Brevet à l’honneur

Vendredi, les lauréats du Diplôme National du Brevet (DNB) ont été à l’honneur au collège Henry Berger de Fontaine-Française. 41 candidats ont participé à cette édition 2017 du DNB à Fontaine-Française. Chaque lauréat a reçu de manière solennelle son diplôme du DNB, par le principal Eric Vadot au cours d’une sympathique cérémonie de remise des diplômes du DNB. Le taux de réussite a été de 92,5 %. Il y eu 6 passables, soit 15 % des reçus, 9 mentions assez-bien, soit 22,5 % des reçus, 13 mentions bien, soit 32.5% des reçus, et 9 mentions très bien soit, 22,5% des reçus.

Un projet artistique concrétisé

Un projet artistique concrétisé

Deux artistes sont venues réaliser un projet artistique au collège Henry Berger.

Ce projet artistique a été intitulé : « The big projet ». Il a été réalisé dans le cadre d’un parcours Starter issu des actions artistiques lancées du conseil départemental.
Les collégiens du 4e du collège Henry Berger de Fontaine-Française, ont été invités à ré-explorer leur quotidien au sein du collège afin de le détourner de manière créative et imaginative. Ils ont réalisé une série de courts-métrages par groupe, à l’aide du procédé de stop motion, dans lesquels ils ont mis en scène des objets choisis, soumis au changement d’échelle. Pour cela ils ont fabriqué des répliques d’objets en grande dimension après avoir imaginé, à l’aide de scénarios, la manière dont ceux-ci ont réalisé des fictions. Las artistes qui ont porté ce projet sont Charlotte Yonga et Lolita Bourdet (spécialisées en arts plastiques). Jérémie Travaillé, professeur d’arts plastiques, Anne-Laure Philippe, professeure documentaliste, Bertille Polimann, professeure de lettres, tous trois enseignants du collège Henry Berger, ont participé à ce projet d’éducation artistique débouchant sur une réelle rencontre avec la création.
Témoignages :
Dylan Boulet 4ème A, 14 ans, habitant de Chaume : « C’était intéressant. Cela m’a appris à créer un film, à surdimensionner un objet pour raconter une histoire. »
Quentin Demus, 4ème A , 14 ans, habitant de Fontenelle : » Ce a été une belle expérience,. On a appris de nouvelles techniques pour réaliser des films »
Juliette Versavaud, 4ème A, 13 ans, habitante de Fontaine-Française : »J’ai participé au film, c’était un travail de groupe, il fallait beaucoup de patience. Je pense que le résultat va être bon. »

Le collège Henry Berger à la pointe du numérique

dalleLe collège Henry Berger à la pointe du numérique

Dans un esprit d’innovation et de simplification, le collège Henry Berger de Fontaine-Française s’est doté doté d’un outil numérique à la pointe de la technologie actuelle : une dalle numérique interactive.

Lundi, au collège Henry Berger de Fontaine-Française, Bruno Lapetite du rectorat, est venu faire une démonstration de l’utilisation de la dalle numérique interactive en présence du principal : Éric Vadot, de Gérard Jaffry de la Société Métallurgique de Fontaine-Française membre du conseil d’administration de l’établissement, et de plusieurs enseignants de l’établissement.
Le collège Henry Berger, est le premier collège de l’académie de Dijon, doté d’une dalle numérique interactive . Cette dalle numérique interactive se substitue au vidéoprojecteur, à l’ordinateur, au Tableau Numérique Interactif (TBI), et il n’y a pas besoin d’enceintes supplémentaires pour l’utiliser. « L’image est de très grande qualité. La différence avec le TBI réside dans l’aspect tactile de la dalle numérique interactive, un ordinateur n’est pas nécessaire, on peut écrire dessus ,et stocker de l’information. On peut projeter à partir d’un téléphone portable ou d’un ordinateur. On peut exporter son travail. » : précise Bruno Lapetite.
Eric Vadot poursuit le travail de Romain Mathieu, qui a été principal de longues années au sein de l’établissement afin de numériser le collège. Prochainement 30 tablettes numériques (IPAD) et deux bornes WIfI seront livrées au collège grâce à l’action du conseil départemental de la Côte d’Or.

Des élèves du collège témoignent:
Élisa Lepin élève de troisième précise : « Je me suis servi de la dalle numérique interactive. J’ai corrigé un exercice avec. C’est intuitif. C’est comme une tablette numérique en plus grand. »
Océane Troncin élève de troisième : « C’est pratique, c’est très simple, c’est facile d’utilisation, cela change du TBI. »
Théo Ronot élève de troisième : « C’est bien, c’est marrant, c’est enfantin, on écrit avec les doigts, on n’a pas besoin de vidéo projecteur, on peut conserver son travail. »

En chiffres : La dalle numérique du collège Henry Berger possède une diagonale d’écran de 65 pouces (soit 165 cm). Elle a couté 4 500 €. Ce matériel de pointe a pu être financé grâce à la taxe d’apprentissage perçue par le collège Henry Berger. Elle est prévue pour 50 000 heures d’utilisation.

La fermeture du collège de Champlitte pourrait impacter Fontaine-Française

DSCN0074La fermeture du collège de Champlitte pourrait impacter Fontaine-Française

Des élèves du secteur de champlitte pourraient venir au collège Henry Berger de Fontaine-Française plus tôt que prévu

Mardi matin, Alain Joyandet sénateur de la Haute-Saône est venu à Champlitte, afin de s’insurger contre la fermeture du collège en 2017 et a tenu une conférence de presse à la mairie de Champlitte, après s’être rendu devant le collège. Il s’est dit prêt à se lever tôt le matin, et même sous la pluie. Il a déclaré : « Je suis choqué par l’accélération et la brutalité de la réaction d’Yves Krattinger, président du conseil départemental de la Haute-Saône, qui souhaite fermer le collège de Champlitte en 2017. Il y aurait plus d’élèves à la rentrée, entre 128 et 132 élèves sont attendus à la rentrée 2016 au lieu de 119 annoncés. Les gens veulent enlever leurs enfants à la rentrée pour les mettre ailleurs ce qui ferait baisser les effectifs à la rentrée prochaine. Je veux rencontrer la préfète, l’avenir du collège est entre ses mains. Le Conseil départemental de l’éducation nationale (CDEN) s’est déjà prononcé contre cette fermeture du collège Leroy Gourhan de Champlitte. La solution d’envoyer les élèves à Dampierre sur Salon n’est pas la bonne. Il n’y a pas d’économie à faire. La fermeture du collège serait un traumatisme pour Champlitte. Le conseil départemental doit défendre les territoires ruraux fragiles comme Champlitte. »
Gilles Teuscher a ajouté : « On attend des nouveaux habitants, un nouveau lotissement est à l’étude. On ne va pas en rester là, on va essayer d’arrêter l’échéance. On va demander un moratoire à la préfète ». Dans l’assistance, Jean-Marc Angelot, maire délégué de Leffond fait remarquer que des habitants de Percey le Grand pourraient envoyer leurs enfants au collège Henry Berger de Fontaine-Française, plus proche que Dampierre sur Salon.

Un échange fructueux

Un échange fructueux

Dans le cadre d’un travail sur l’orientation, un groupe d’élèves du collège Henry Berger de Fontaine-Française s’est rendu au Lycée Les Marcs d’Or à Dijon

Depuis le début de l’année scolaire, un groupe d’élève de 4e travaille de manière approfondie sur l’orientation. Durant deux heures par semaines, chacun d’eux commence à prendre de l’avance sur l’année de 3e en préparant son projet professionnel. Les choix sont éclectiques : armée, coiffure, mécanique, menuiserie, garde-chasse… Les projets sont bien ancrés ou évoluent en fonction des influences, de la maturité, des résultats scolaires et du travail effectué en IDD des métiers.
En ce début de semaine, Coralie, Claire, Davy, Christopher, Donovan, Jeremy, Léa, Evan, Cheyenne, Dylan, Jessica et Océane ont passé trois jours en stage de découverte d’un lycée professionnel au Lycée Les Marcs d’Or à Dijon. L’objectif : découvrir des formations professionnelles du bâtiment et surtout la vie dans un lycée et un lieu important de cette vie loin de la famille, l’internat.
Accueillis par le proviseur, Romain Mathieu et la CPE, Marie Pitavy, les élèves ont donc suivi 4 demi-journées de cours en ateliers, avec les professeurs du lycée. Ils ont pu découvrir la taille de pierre, la menuiserie, l’aménagement et finition du bâtiment et le chantier-école du fort de la Motte-Giron lors d’une visite privilégiée.
Tous sont repartis avec leurs créations, un poisson sculpté dans la pierre, un jeu de solitaire en bois, un panneau peint et une avance certaine dans leur choix d’orientation de fin de 3e.
L’équipe éducative qui a mis en place cette expérience pédagogique a remercié Romain Mathieu, proviseur du lycée les Marcs d’Or et Eric Vadot, principal du collège Henry Berger, pour avoir avoir permis cet échange fructueux.

Fontaine-Française : les collégiens ont mis en scène leurs haïkus

DSCN0094Dans le cadre des Parcours Starter, les collégiens d’Henry-Berger de Fontaine-Française ont écrit des haïkus qui ont été ensuite mis en scène, filmés. Ils ont découvert le résultat.
Les élèves de quatrième B du collège Henry-Berger ont participé à un projet d’écriture de haïkus. Le haïku est une forme poétique très codifiée d’origine japonaise. Un film a été réalisé par deux artistes Fiona Lindron et Annelise Ragno, à partir de ces haïkus avec la participation des élèves qui ont été filmés et ont apporté des objets afin d’illustrer leurs petits poèmes. La restitution de ce film a eu lieu vendredi au collège en présence des artistes et des professeures qui ont ­initié la réalisation de cette vidéo : Éloïse Masson (arts plastiques), Bertille Polimann (lettres) et Anne Philippe (documentaliste).

Ce travail entre dans le cadre des Parcours Starter proposé par le conseil départemental de la Côte-d’Or. Ce dispositif a été mis en place dans les collèges pour mettre en œuvre des projets d’éducation artistique, inciter à la découverte et à la fréquentation des salles de spectacles, créer les conditions pour les collégiens d’une réelle rencontre avec la création.
Dix-neuf Parcours Starter ont été retenus pour l’année scolaire 2014-2015 par le conseil départemental, certains déjà conçus en lien avec un collège, d’autres qui doivent encore trouver un établissement pour les accueillir. De la création radiophonique à la danse, des arts plastiques au théâtre… Toute la diversité des expressions artistiques est proposée aux collégiens de Côte-d’Or.

La Farfalla enchante le collège Henry Berger

DSCN9145La Farfalla enchante le collège Henry Berger

Depuis le mois de janvier, une classe de sixième du collège Henry Berger de Fontaine-Française travaille sur un projet artistique, mêlant danse, écriture, et expression théâtrale. Après une dernière série d’ateliers et un voyage afin de rencontrer la troupe de la compagnie La Farfalla au complet en résidence à l’Abreuvoir à Salives. Les enfants ont présenté leur spectacle, ce vendredi au collège, dans un écrin de verdure situé derrière l’établissement.
Marie Braun, danseuse, musicienne et chorégraphe, directrice artistique de la Compagnie La Farfalla et Thomas Casey, danseur et chorégraphe canadien, ont fait évoluer les élèves avec le corps et l’esprit sur le thème « Nous franchirons des frontières ».
Dans le cadre de l’interdisciplinarité mêlant des compétences en français, musique, expression corporelle et danse contemporaine initiée par la compagnie La Farfalla, chaque élève a écrit un texte racontant un voyage, passé ou futur, réel ou imaginaire et s’est confectionné un balluchon contenant les objets indispensables à sa survie, lors de ce voyage : photos, objets souvenirs, objets préférés.
Costumés, armés de leur bagage, ils ont incarné ce personnage en partance, pour la plus grande joie du public constitué par leurs parents venus nombreux. Les spectateurs ont pu admirer ce travail de qualité.

De l’eau pour un village du Tchad

DSCN9097De l’eau pour un village du Tchad

25 élèves volontaires de cinquième se mobilisent afin d’aider un village tchadien à avoir un puits.
Sous l’impulsion de Cécile Gagnard, professeur d’histoire-géographie au collège Henry Berger de Fontaine-Française, une mobilisation est née au collège Henry Berger pour le forage d’un puits à Koro Bémara près de Doba au sud du Tchad.
Cécile Gagnard a parlé de Koro Bémara, à ses élèves. Elle a fait du soutien scolaire dans le cadre du volontariat dans ce village l’an dernier. Les élèves ont voulu se mobiliser pour l’Afrique au moment où une demande d’aide pour le forage d’un puits à Koro Bémara est arrivée venant du Tchad auprès de Cécile Gagnard.
Cette problématique de l’eau est au programme de cinquième en géographie, et un projet de solidarité concret est à établir en éducation civique également.
« Les femmes et les petites filles font 14 kilomètres chaque jour pour puiser l’eau donc il n’y a pas de temps libéré pour l’école des petites filles. Les femmes puisent l’eau dans de endroits pas toujours indiqués. L’objectif est double, améliorer le sort des femmes et des petites filles et d’éviter les maladies liées à l’eau en créant et en forant un puits couvert. » : précise Cécile Gagnard.
Les élèves font du porte à porte pour expliquer leur projet de forage de puits. 218 € 81 ont été récoltés à ce jour. Actuellement les élèves fabriquent des objets, cartes postales, marque-pages, et confectionneront des gâteaux. Le tout sera vendu lors des portes ouvertes de l’établissement qui auront lieu le samedi 13 juin. Un diaporama de présentation du projet sera effectué à cette occasion à destination des visiteurs.
Des gouttes d’eau sont collées sur un pilier de l’établissement pour symboliser chaque don.
Deux projets existent, l’un se monte à 5 500 000 francs CFA soit 8 250 € pour le forage d’un puits qui sera couvert ou alors un autre projet existe pour 300 000 francs CFA c’est-à-dire 450 € seront nécessaires pour un projet de réhabilitation d’un puits plus ancien.
Les chèques peuvent être adressés à l’AEC du collège Henry Berger de Fontaine-Française.

Carnaval au collège

Carnaval. Dernièrement, et pour la première fois au collège Henry-Berger de Fontaine-Française, carnaval a été fêté. Tout l’établissement, les élèves, les professeurs et le personnel de la vie scolaire se sont costumés à l’occasion de Mardi gras. Pour l’équipe éducative, cela a été l’occasion de montrer l’importance de la notion de “vivre ensemble”, à travers un événement convivial et fédérateur. L’animation s’est achevée autour d’un goûter offert par l’établissement. La principale Catherine Marchi a souhaité que ce moment festif soit renouvelé les prochaines années et qu’il devienne un temps fort de la vie au collège et une tradition au sein de l’établissement.