Du nouveau dans l’économie du secteur.
Samedi, à la mairie de Fontaine-Française a eu lieu l’assemblée générale de L’Union des Commerçants Artisans et Industriels (UCAI), présidée par Jean-luc Recorbet.
Parmi les projets de l’association : la foire de printemps organisée place Henri IV et s’étendant jusqu’au garage Cadet-Rondi, rue de la Maladière à Fontaine-Française. Cette foire aura lieu le dimanche 29 avril. Le Brule-sapins sera reconduit l’an prochain.
L’association recherche des bénévoles pour aider à réaliser ses manifestations. Jean-Luc Recorbet a remercié la commune de Fontaine-Française pour son aide logistique.
Jean-Baptiste Ravier s’est présenté. C’est un nouvel artisan. Il est menuisier à Fontaine-Française, rue de la Maladière.
Nicolas Urbano, maire de Fontaine-Française a présenté le projet de lotissement à Fontaine-Française, village peuplé de plus de 900 habitants. Le permis de lotir va être présenté dans quelques semaines. « Fontaine-Française est doté d’une micro-crèche, d’un pôle scolaire, de services périscolaires, d’un collège et possède de nombreux services. » : a souligné le premier édile.
Concernant le projet de réfection de l’ancienne gendarmerie et la réalisation de logement dans ce bâtiment, un permis de construire sera déposé dans quelques semaines également.
Les recours envers l’établissement d’Intermarché sont levés. Intermarché verra donc le jour à Fontaine-Française, peut-être à l’horizon du premier trimestre 2019. Le terrain sera vendu sans doute dans la première quinzaine de mars par la commune.
La reconstruction de la Maison Sainte Élisabeth se fera à Fontaine-Française. Le montant total de l’investissement serait d’environ 8 millions d’euros.70 emplois seraient maintenus à Fontaine-Française.
Didier Lenoir, président de la communauté de communes Mirebellois et Fontenois a pris la parole. Le gymnase est affiché au budget de la communauté de commune. L’endroit de son implantation doit être stratégique, non loin du collège et du pôle scolaire à Fontaine-Française.
Lors d’un débat, Matthieu Hénoch du restaurant La Tour a évoqué la concurrence des food-trucks à Fontaine-Française, selon lui déloyale. En effet le restaurateur a évoqué les charges plus faibles payées par les propriétaires de ces camions vendant de la nourriture. Nicolas Urbano, a répondu que ces commerçants ambulants payent des charges sociales et une patente.
Cependant Matthieu Hénoch a noté que les charges fixes : eau, électricité, chauffage sont moindres pour les commerçants ambulants.