Travaux à Mornay.

Vendredi, à Mornay, commune associée de Montigny-Mornay-Villeneuve, des travaux de réfection, des trottoirs ont été réalisés, à la demande de la municipalité.
« Le conseil municipal de Montigny-Mornay-Villeneuve a pris conscience des problèmes d’entretien des trottoirs de la commune, rendus d’autant plus difficiles que la loi du Grenelle de l’environnement limite l’emploi des pesticides chimiques. » : précise Roger Raillard, premier édile de la commune.
Une enveloppe de 30 000 € est débloquée pour la réfection de 600 mètres de trottoirs sur Montigny-sur-Vingeanne et Mornay, avec de l’enrobé chaud, plus résistant que d’autres matières.
Le conseil municipal est convaincu que la commune devra investir tous les ans un budget pour la réparation des trottoirs de Montigny-Mornay-Villeneuve.

Le Troud’Argot, un endroit frais et verdoyant.

Un lieu méconnu, frais et verdoyant, est prisé par les connaisseurs à Montigny-sur-Vingeanne, commune associée de Montigny-Mornay-Villeneuve.

Le trou d’Argot viendrait d’une légende, un paysan du village, nommé Argot, serait tombé dans le trou avec son chariot d’où le nom Trou d’Argot. L’étymologie nous raconte une autre histoire : Argot viendrait argu : querelle, arguer : quereller, argoté : signifierait rusé malin, argutare mot latin qui signifie disputer, « argot » ressemble beaucoup à arguce forme ancienne d’argutie cf le Littré Dictionnaire de la langue française, Paris, Hachette 1885. Selon le premier édile, Roger Raillard, le lieu améagé au XIXème sicle aurait fait l’objet de querelles de la part des riverains qui craignaient d’être inondés suite aux travaux. « Un moulin a été construit, un bief a été créé avec un système de vannage. Un trou s’est creusé au bas du déversoir. » : confie Roger Raillard.
Aujourd’hui, le site du Trou d’Argot est actuellement avec une aire de pique-nique au bord d’un plan d’eau. Cet endroit, au bord d’une onde propre est verdoyant, paisible, ombragé, et frais est constitué des trois iles, l’une d’elle d’environ un hectare accueille le camping, l’autre mesure 50 ares une troisième fait 25 ares la quatrième a une surface de 200 mètres carrés. Un pont relie 2 iles. L’une d’elle est boisée. « C’est le rendez-vous des amoureux; » : ajoute Roger Raillard.
Un sentier de promenade, l’allée des ilotes, part de cet endroit, pour aller jusqu’au petit lavoir sont situé en contrebas du village. Ce secteur du Trou est illuminé le soir jusqu’à minuit.
Cette année, a eu lieu la fête de la pêche organisée par l’Amicale des Pêcheurs de la Haute et moyenne Vingeanne avec pêche à la truite gratuite pour les enfants. Les enfants sont repartis, heureux, avec leur truite pêchée par leurs soins, une canne à pêche, et des appâts notamment. Sans aucun doute, l’envie de retourner à la pêche sera ancrée chez ces enfants. Le cadre agréable offert par le site du Trou d’Argot a servi d’écrin à cette journée récréative. Des pêcheurs viennent régulièrement dans ce coin très réputé pour le nombre des poissons présents à cet endroit.
Ce site naturel, reconnu pour la possibilité d’exercer des activités estivales de loisir est situé sur un terrain communal. « Aménagement, créations d’emploi pour le gardiennage, pourraient faire l’objet d’une infrastructure communautaire. » espère Roger Raillard.

Des travaux accessibilité à Montigny-Mornay-Villeneuve.

Actuellement, à Montigny-sur-Vingeanne, commune associée de Montigny-Mornay-Villeneuve, la commune investi pour rendre accessible le puits de relevage d’assainissement, entretenu régulièrement par les services de la société SAUR. Le cout d’investissement est de 7 000 euros. Le revêtement en grave ciment est utilisé pour ces travaux de voirie réalisés par la SAS Bongarzone de Poinson-les -Fayl (52). La grave-ciment est utilisée dans les travaux de voirie pour la couche d’assise de chaussées. Il s’agit d’un mélange de grave et de ciment ou tout autre liant hydraulique. Les travaux devraient être terminés dans le courant de cette semaine.

Lavoirs de Montigny-sur-Vingeanne.

Lavoirs de Montigny-sur-Vingeanne.
Montigny-sur-Vingeanne, commune associée de Montigny-Mornay-Villeneuve compte trois lavoirs. L’un est situé en contrebas du Village, deux autres sont situés de part et d’autres de la Vingeanne, près du moulin.
Celui qui est situé route de La Villeneuve près de la Vingeanne, est fermé afin d’éviter les dégradations.
Lors de la période de l’Avent, à Montigny-sur-Vingeanne, des bénévoles de Montigny, Mornay et La Villeneuve installent une crèche dans le lavoir pour la plus grande joie des petits et des grands.
C’est une manière pour les habitants du lieu de se réapproprier le petit patrimoine rural par une reconstitution festive.

Le pont de Saint-Maurice-sur Vingeanne.

Le pont de Saint-Maurice-sur Vingeanne date de 1834.
Une délibération du conseil municipal permet de dater le pont de Saint-Maurice sur Vingeanne de 1830.
La Vingeanne a toujours inspiré les poètes et les écrivains. De sa source à la Saône, où elle se jette, elle a toujours été respectée, par les paysans qui la craignent.
Elle traverse les prairies et villages. Le plus pittoresque d’entre eux est sans doute Saint-Maurice-sur-Vingeanne. Ce village est coupé en deux par la Vingeanne.
Au temps jadis, le passage d’une rive à l’autre se faisait à gué, puis par un pont de bois.
Avec la création de la voie de circulation entre Montigny-sur-Vingeanne et Saint-Maurice-sur-Vingeanne, le conseil municipal de Saint Maurice sur Vingeanne, décide le 17 juillet 1830 de construire un pont de pierre.
Les travaux ont été réalisés en 1834, par M. Brulé, maçon à Saint-Maurice-sur-Vingeanne, compagnon du Tour de France. Ce disciple de Maitre Jacques a réalisé un véritable chef d’œuvre qui a résisté aux crues de 1910, 1930 et 1965.
Le prix des travaux de construction fut réglé par la commune.
Le 18 juillet 1859, fut décidé par délibération de conseil municipal la construction de perrés, dans la traversée du village, afin que les berges ne se dégradent pas en temps de crue.
185 ans après sa construction, le pont est intact, malgré la force de la rivière. La pierre est de très grande qualité. Cette pierre de taille provient des carrières de Prauthoy (52).

La Sainte Barbe dignement fêtée.

La Sainte Barbe dignement fêtée.

Les sapeurs-pompiers du centre d’incendie et de secours (CIS) de Fontaine-Française, ont été mis à l’honneur, à l’occasion de la Sainte Barbe.

Les sapeurs-pompiers du centre d’incendie et de secours (CIS) de Fontaine-Française ont fêté sainte Barbe, ce samedi. Après le passage en revue du corps de volontaires est venue l’heure des discours.
Ce fut l’occasion de faire le point et de récompenser des sapeurs-pompiers méritants. « 261 interventions ont eu lieu en 2018 jusqu’au jour de la sainte Barbe. Cela représente une augmentation de 10% par rapport à l’année précédente. 40 % d’interventions ont été réalisées hors secteur. 323 sorties d’engins ont été effectuées. 163 interventions pour secours aux victimes ont été réalisées. » : a précisé le lieutenant Aurélien Viardot, chef du centre d’incendie et de secours de Fontaine-Française.
L’effectif est en hausse avec 32 sapeurs-pompiers volontaires, trois nouveaux sapeurs-pompiers ont rejoint le CIS cette année. Virgil Tarby, 17 ans, habitant de Bourberain, et venant de la section des Jeunes Sapeurs-Pompiers (JSP) de Mirebeau-sur-Bèze, Gaétan Maréchal, 24 ans, habitant de Fontaine-Française, ancien JSP de Fontaine-Française, Enzo Di Liberto, 16 ans et habitant de Bourberain, ont rejoint tous trois les sapeurs-pompiers de Fontaine-Française.
Alicia Rouillard, 34 ans, monitrice d’équitation et habitante de Licey-sur-Vingeanne, Bastien Bonnotte, étudiant, âgé de 17 ans, habitant Montigny-sur-Vingeanne, commune associée de Montigny-Mornay-Villeneuve, et Franck Renard, habitant de Fontaine-Française, âgé de 37 ans et pâtissier au sein d’une grande surface, ont pour ambition de rejoindre les sapeurs -pompiers de Fontaine-Française. Leur recrutement est en cours.
L’ensemble des sapeurs-pompiers du CIS de Fontaine-Française ont été félicités pour leur dévouement.
Un engin d’intervention, tri fonction, incendie, hors chemin et secours routier a été demandé par Aurélien Viardot, chef du centre d’incendie et de secours de Fontaine-Française, pour la prochaine Commission Administrative et Technique des Services d’Incendie et de Secours (CATSIS).
Les élus présents ont dit tout leur soutien aux sapeurs-pompiers du CIS de Fontaine-Française.

Hubert Poullot, maire de Saint-Philibert, conseiller départemental de Nuits-Saint-Georges, et président du Service départemental d’incendie et de secours de Côte-d’Or, Didier Lenoir, président de la communauté de communes Mirebellois et Fontenois, Nicolas Urbano, maire de Fontaine-Française, Christian Charlot, maire de Saint-Seine-sur-Vingeanne, étaient présents à la Sainte Barbe du CIS de Fontaine-Française.

Une crèche dans le lavoir.

Une crèche dans le lavoir.

Mardi 27 novembre, une équipe de bénévoles de la commune Montigny-Mornay-Villeneuve est venue préparer la crèche de Noël, installée au sein du lavoir de Montigny-sur-Vingeanne, commune associée de la commune de Montigny-Mornay-Villeneuve.Cette crèche a été mise en place pour la plus grande joie des petits et des grands. Une crèche cela rappelle les racines chrétiennes de l’Europe.
Témoignages:
Marcel Garnaux, 72 ans, retraité, habitant de Montigny-sur-Vingeanne : « Nous installons une crèche dans le lavoir, pour les enfants, afin de rappeler la naissance de Jésus. »
Josette Goudot, 74 ans, retraitée, habitante de Montigny-sur-Vingeanne :  » Cette crèche est installée pour animer les trois villages, Montigny-sur-Vingeanne, Mornay, et La Villeneuve. Noël est une fête traditionnelle, célébrée chaque année. »
Brigitte Barbe, 61 ans, retraitée, habitante de Mornay : »On se retrouve chaque année pour mettre en place la crèche, dans la bonne humeur. C’est une joie pour moi, d’emmener mes petits-enfants s’émerveiller cette crèche animée. »

Le restaurant : « Le 23 », fête ses 5 ans.

Le restaurant : « Le 23 », fête ses 5 ans.

Christophe Dufrenez et Nicolas Le Caro accueillent le public depuis 5 ans au sein de leur restaurant à Montigny-sur-Vingeanne, commune de Montigny-Mornay-Villeneuve. La vie du restaurant de Christophe Dufrenez et Nicolas Le Caro, regorge d’anecdotes. Les cinquante ans de mariage de Denis et Jocelyne Chauve, les quatre-vingt ans de Jean Goudot, le repas des ainés de la commune, ont marqué la vie du restaurant.
« Denis chauve est un ancien conseiller municipal, Jean Goudot est l’ancien cantonnier de la commune, avec son épouse, il nous a toujours aidés et soutenus. Cela compte beaucoup pour nous. Des touristes belges sont devenus des fidèles, ils font étape chez nous.» : confie Christophe Dufrenez.
Pour fêter les cinq ans d’anniversaire de leur restaurant, Christophe Dufrenez et Nicolas Le Caro, ont organisé un jeu avec tirage au sort, ouvert à tous, afin de gagner un diner pour deux au champagne, suivi d’une nuit en chambre d’hôtes avec petit déjeuner offert au 23.
Pour participer, il suffit de remplir un bulletin d’inscription et de le déposer dans l’urne prévue à cet effet, c’est bien en tendu sans obligation d’achat.

Une boutique avec dépôt vente de produits artisanaux et locaux est présente au sein du restaurant : « Le 23 » à Montigny-Mornay-Villeneuve. Il s’agit des produits exposés au restaurant, provenant du collectif Fabrik&sens, c’est un collectif d’artisanes. Ce collectif compte 7 artisanes, cependant il reste ouvert aux hommes. Aux biscuits contés de Marie-Laure Gagnepain de Chazeuil, l’Atelier Califourchon d’Angélique Carboni de Sacquenay, La Céramique Historique de Pernette Bétrancourt de Courcelle Val d’Esnom (52), 5 doigts et Fantaisies de Bérengère Robin de Fontenelle, Marie Framboisine de Françoise Cadic tapissière d’Attricourt (70), Cécile Peres avec EnJeux et Créations d’Attricourt (70), et Brocante et Patines d’Ellen Prudhommeaux font partie du collectif Fabrik&sens.
« Nous faisons dépôt vente pour promouvoir l’artisanat local, depuis 2014, les clients peuvent faire des cadeaux à des proches ou à eux même , les clients adore ce service, en gros 6 personnes sur 10 regarde les articles proposés; » : explique Christophe Dufrenez . »
Téléphone : 03.80.75.99.15.

L’atelier de distillation des bouilleurs de cru fait peau neuve.

L’atelier de distillation des bouilleurs de cru fait peau neuve.
L’atelier de distillation des bouilleurs de cru du syndicat des bouilleurs de cru de Montigny-sur-Vingeanne connait actuellement une rénovation totale. Le syndicat des bouilleurs de cru de Montigny-sur-Vingeanne remercie la municipalité de Montigny-Mornay-Villeneuve, les artisans : Jacky Marcel et Franck Gaillard, qui a refait l’installation d’eau local des bouilleurs de cru et celui des chasseurs de la commune, et les bénévoles qui ont participé à cette rénovation.

Petite histoire de l’école de Saint-Maurice-sur Vingeanne.

Il faut savoir qu’avant la révolution de 1789, l’école telle que nous la connaissons, n’existait pas. Les nobles, les riches avaient des précepteurs. Cependant il existait des écoles monastiques. Toutefois ce sont les lois de 1881-1882, qui ont institué l’école laïque, gratuite et obligatoire. Ce sont lois dites Jules Ferry.
En 1802, il fut question d’installé une école à Saint-Maurice-sur-Vingeanne.
En 1830, les sœurs de Montigny-sur-Vingeanne, les Ursulines, accueillent une quarantaine de filles du secteur, qu’elles instruisent. En 1877, elles sont une trentaine de filles à être accueillies au couvent.
En 1854, avec l’épidémie de choléra, sévit, la municipalité demande la venue de sœurs à Saint-Maurice-sur-Vingeanne. L’école des filles de Saint-Maurice-sur-Vingeanne n’ouvrira qu’en 1857, elle sera tenue par des sœurs, pourtant dès 1836, des voix demandaient l’ouverture de l’école des filles.
An X (1802) : ouverture d’une école à Saint-Maurice-sur-Vingeanne.
An X : Nomination de l’instituteur, Bernard Marchand, ancien instituteur à Courlon (21) instituteur de l’école primaire, avec un salaire de 500 francs par an, il est logé.
An XI (1803) : La maison commune est construite. Elle abrite la mairie, l’école des garçons, le logement de l’instituteur . C’est l’ancienne mairie, et actuelle salle des fêtes.
1835 : Proposition de devis pour la reconstruction de la maison commune.
1836 : Proposition faite par monsieur Gendel, maire et monsieur Clerc de la construction d’une école des filles.
1836. Démission de monsieur Marchand. Prosper Mention est nommé avec un traitement de 400 francs par an.
1839 : Réception de la maison commune. Elle a couté : 11 647, 587 francs, dont 685,03 francs pour l’architecte.
1847 : nomination de Simon Aubertot, ancien instituteur d’Isômes (52), en remplacement de Prosper Mantion, décédé.
1852 : le salaire de l’instituteur est de 440 francs par an.
1854 : demande d’autorisation d’installer une école des filles dirigées par des soeurs qui donneront des soins aux malades. C’est l’année du choléra. Demande de l’acquisition de la maison Signard pour établir l’école des filles.
1857 : Installation comme institutrice de l’école des filles de soeur Marie de la Croix de l’ordre de la Providence de Vitteaux.
1861 : Le traitement de l’instituteur est à 600 francs par an.
1868 : Construction d’une cave et d’un four pour l’école des filles. Le traitement de l’institutrice est à 600 francs par an, le traitement de l’instituteur est à 700 francs par an.
1872, Le traitement de l’instituteur se monte à 800 francs par an.
1877 : l’école est gratuite à Saint-Maurice-sur-Vingeanne.
1881-82 : Lois Ferry.
1883 : Le conseil municipal de Saint-Maurice-sur-Vingeanne décide la substitution d’une école congréganiste des filles par une école laïque. Le salaire de l’institutrice se montait à 7000 francs par an, et celui de l’instituteur à 1 000 francs par an. La nouvelle institutrice publique est madame Bergeret. Son déménagement coute 85 francs. Son traitement sera de 900 francs par an.
1883 : Le conseil municipal de Saint-Maurice-sur-Vingeanne décide de la construction d’une nouvelle école des filles, à l’emplacement de l’école ancienne.
1886 : Le devis de construction se monte à 17 546, 44 francs. Un mur sera construit : « pour protéger les filles et l’institutrice. »
L’école des garçons est réparée pour 4 834 francs. Le traitement de l’instituteur est de 1300 francs par an, l’institutrice perçoit 950 francs par an.
Donation d’un jardin pour l’instituteur par monsieur Charmoillat dit Charmaillac.
1888-89 : construction de la nouvelle école des filles, pendant les travaux, les cours ont lieu rue de la Cavitrey dans la maison d’Hubert Chaudot.
1893 : Acquisition de la maison Contet située contre l’école des filles.
1896 : Ouverture d’un cours pour adultes.
1949 : Réfection de la clôture de l’école des filles pour 300 000 francs.
1977 : Réfection de la toiture de l’école pour 18 527,28 francs. Installation de sanitaire pour le logement de l’instituteur pour 13 109,10 francs.
1981 : Création du Regroupement Pédagogique Intercommunal (RPI) avec Orain et Montigny-Mornay-Villeneuve. 17 familles sont concernées. La commune est favorable au RPI.
1985 : L’école ferme, malgré l’opposition de la municipalité. Le logement est loué à madame et monsieur François, puis à madame et monsieur Chapotot.
2000 : une classe est de nouveau ouverte dans les locaux de l’école.
2009 : l’école ferme.
2015 : la mairie pour des raisons d’accessibilité rejoint l’école. L’ancienne école des filles est devenue mairie. Depuis des années l’école des garçons est devenue salle des fêtes.