« L’art est une démonstration dont la nature est la preuve. » : George Sand
Mois : décembre 2024
31 Décembre.
Saint Sylvestre.
Il y Sylvestre, le chat, compagnon de Titi.
Il y a monsieur Sylvestre dans Les Guignols.
Je me souviens des histoire du Sylvestre, le commis des chez Apert. « Il s’était arrêté au café à Fontaine-Française. Le cheval était rentré avant, tout seul, avec sa carriole à Saint-Maurice. Le Sylvestre l’avait rattrapé en courant à hauteur de la Combe Harry avant qu’il arrive au village ! «
Fallait le faire ! 😉
Pensée du jour.
« Pour l’homme courageux chance et malchance sont comme sa main droite et sa main gauche. Il tire parti de l’une et de l’autre. » Sainte Catherine de Sienne.
30 décembre.
Bonjour chers lecteurs ! C’est la saint Roger ! Bonne fête aux Roger ! 😉
50 personnes sont venues partager le repas des aînés à Saint-Maurice-sur-Vingeanne.
Dimanche 22 décembre, à la salle des fêtes de Saint-Maurice-sur-Vingeanne, cinquante personnes sont venues partager le repas des aînés offerts aux anciens de la commune âgés de plus de soixante-dix ans. Vingt-cinq personnes âgées du village absentes lors de ce repas sympathique et convivial ont choisi de recevoir à domicile les colis qui leur étaient réservés.
L’impossible retour d’Amélie Nothomb.
Je suis un enfant gâté car le Père Noël m’a aussi apporté : « L’impossible retour d’Amélie Nothomb. » paru aux éditions Albin Michel en 2024.
« Tout retour est impossible, l’amour le plus absolu n’en donne pas la clé. »
Amélie a produit un très bon cru. L’autrice exprime son désir de voyage : « un retour aux sources au Japon », contrarié par son attachement viscéral à Paris.
Amélie a vécu au Japon, elle a conçu un amour absolu pour ce pays et pour sa langue si particulière.
C’est un récit de voyage que je conseille ! 😉
Pensée du jour.
« Le paradis, c’est la fusion de deux âmes dans un baiser d’amour. » : George Sand
Zorro.
J’ai regardé Zorro avec Jean Dujardin en différé hier soir ! 😉
« En 1821, Don Diego de la Vega devient maire de sa bien-aimée ville de Los Angeles qu’il compte bien faire prospérer. Cependant, la municipalité est confrontée à des problèmes financiers du fait de l’avidité d’un homme d’affaires local, Don Emmanuel, face auquel les pouvoirs du maire s’avèrent insuffisants pour combattre l’injustice. Diego n’a pas fait appel à son double Zorro depuis 20 ans. Mais au nom de l’intérêt général, il n’a plus d’autre choix que de ressortir son masque et son épée. Très vite, Diego va rencontrer des difficultés à concilier sa double identité de Zorro et de maire, ce qui met à rude épreuve son mariage avec Gabriella, qui ignore son secret. Diego pourra-t-il sauver son mariage et sa santé mentale au milieu du chaos ? » : nous dit Allo Ciné.
Il y a deux parties dans le premier épisode. J’ai préféré la seconde avec de l’action ! 😉
Il y a beaucoup de second degrés et de l’humour un peu comme dans OSS 117 ! 😉
29 décembre.
Ma maman est décédée il y a cinq ans un 29 décembre. Nous ne t’oublions pas !
Je pense à elle chaque jour !
Paix à son âme !
Elle était la gentillesse, la douceur et la générosité personnifiée !
Mémoires de Napoléon Bonaparte. Manuscrit venu de Saint-Hélène (Ed.1821)
Napoléon 1er a écrit ses mémoires. Elles sont publiées aux éditions Hachette-BNF. J’ai reçu ce livre pour Noël.
Napoléon se défini d’abord comme un défenseur de la Révolution. C’est assez surprenant. Il prétend avoir appris le français à l’armée. Ensuite il se conçoit surtout comme un militaire, chef des armées, voire un chef de guerre. Avant même d’être un politique. Il se félicite d’avoir facilité la démocratie, en créant une nouvelle catégorie sociale : je pense qu’il s’agit des fonctionnaires et surtout des militaires. L’armée apparaissant pour prendre une locution contemporaine comme « un ascenseur social » pour la paysannerie nombreuse à une époque ou 80 % de la population était rurale et attachée à la terre.
Lorsque Napoléon Premier parle de l’Empire, il s’affirme comme le maître de l’Europe, seul contre tous. Enfin il rend hommage au courage de la Grande Armée, particulièrement lors de la retraite de Russie.
Il regrette le blocus continental, rendu inutile avec la contrebande et même devenu nuisible en raison de l’enchérissement des denrées.
Il regrette également l’emprisonnement des prêtres français devenus prisonniers politiques au cours de son opposition au pape Pie VII.
Il n’accable personne sauf lui-même.