Le récital a enchanté le public au château de Fontaine-Française.

Le récital a enchanté le public.

Le château de Fontaine-Française a servi d’écrin à un récital qui a enchanté le public.

Dimanche 24 juin, à l’initiative de Xavier de Caumont et de son épouse, de Nicole et André Jourdheuil et de Georges Païta, la salle des gardes du château de Fontaine-Française accueillait la pianiste russe Aglaya Zinchenko pour un récital Tchaïkovsky, Mozart, Scarlatti, Mendelssohn, Chopin.
Il est bien difficile d’établir une hiérarchie entre les différentes émotions qui vous submergent lorsque vous assistez à un concert d’Aglaya Zinchenko.
L’impression initiale est celle de l’exceptionnelle qualité d’écoute qui s’installe, à peine les premières notes égrenées, et qui ne faiblira pas jusqu’au dernier accord.
Alternant répertoires classique et romantique, Aglaya Zinchenko révèle une égale maîtrise de l’un et de l’autre. Aux phrases délicatement ciselées de Mozart et de Scarlatti succèdent les fougueuses envolées de Chopin et de Tchaïkovsky. Sous les doigts de cette artiste d’exception, tendresse et puissance, loin de s’exclure, entrent en harmonie. De tempi retenus en notes pesées au milligramme près, c’est la musique à l’état pur qui envahit l’espace de l’auguste demeure.
Chez Aglaya Zinchenko, la virtuosité n’est jamais gratuite, ou conçue comme un faire-valoir de l’habileté. Elle demeure en permanence au service du compositeur et de l’émotion. L’équilibre est ici parfait entre le respect minutieux de la partition et l’implication personnelle de l’interprète.
Et que dire de la personnalité lumineuse de cette pianiste magnifique, de la proximité, de la communion qu’elle sait établir, à des années-lumière de l’anonymat des grandes salles de concert, avec celles et ceux venus l’écouter, de son délicieux accent russe, de la sincérité qui émane de son jeu et va droit au cœur et à l’âme…
« Edel sei der Mensch », « Homme, sois noble »… disait le poète. Aglaya Zinchenko incarne à merveille cette vertu, excellemment accordée à la noblesse du lieu, promu, le temps d’un récital, écrin précieux pour une perle rare.
Les murs du château de Fontaine-Française résonneront longtemps de l’écho des notes sublimes échappées, en ce bel après-midi de juin, des mains d’Aglaya Zinchenko.

Succès pour la fête de la musique à Framont.

Succès pour la fête de la musique à Framont.
Jeudi 21 juin, le village de Framont a fêté la musique pour la première fois. La secrétaire de mairie Julia Nicolas a pris son accordéon pour animer agréablement la soirée. Elle était accompagné de son papa Paul Sarrey, également accordéoniste et de son frère Jérôme Sarrey musicien. Tous trois sont venus de Denèvre pour enchanter les habitants du village. ces derniers ont pu se régaler avec les pizzas de Pizz’o feu situé au cœur de la commune.

Une randonnée populaire à Leffond.

Leffond Animation a organisé sa 10ème randonnée populaire sur le territoire de la commune à la découverte de son patrimoine environnemental, à travers champs et bois.

Après une dizaine de kilomètres les participants ont rejoints le secteur de la Vierge, où les bénévoles de l’association avaient dressé des tables pour un repas champêtre servis par une équipe dynamique!

Les 81 convives enchantés par leur matinée et le repas, poursuivirent le périple à destination de la cabane du Loupi avant de revenir au village. au total ce sont près de 15 kms qui ont été parcourus.

Rendez-vous est donné pour l’année prochaine.

Succès pour le gala de danse à Champlitte.

Succès pour le gala de danse.
Samedi, 250 personnes sont venues à la salle des fêtes, pour le premier gala de danse de l’Amicale laïque chanitoise. Trois groupes se sont produits pour la plus grande joie des petits et des grands. Tout d’abord les 5-7 ans sont apparus sur scène puis les 8-12 ans et enfin les adultes. Les cours ont été menés tout le long de l’année par Mélanie Lorier dite « Mélou », de Dijon, professeur de danse. La mairie de Champlitte a été remerciée pour le soutien logistique et le prêt de la salle. L’association : « La Pierrecourtoise » a prêté les éclairages, Dany Seversa était à sono avec son matériel, Agathe et Sandra ont passé des nuits pour réaliser les tenues. Les parents se sont bien impliqués dans ce spectacle qui a été une réussite.

De grands travaux à Champlitte.

De grands travaux.
La Pâturie sera reliée aux grands réseaux. sera reliée aux grands réseaux.
Actuellement, l’entreprise Tattu Travaux publics, de Guyans-Vennes (25), effectue de grands travaux sur le territoire chanitois. Cette entreprise dotée d’une trancheuse (elle en possède plusieurs) pose une conduite de 75 centimètres de diamètre pour l’eau doublée d’une conduite PE de 50 centimètres de diamètre, c’est une gaine qui servira pour la fibre éventuellement. Ces travaux ont lieu entre le site de la Pâturie et la cité chanitoise. Un câble de 20 00 volts pour l’électricité a déjà été posé. Les travaux s’étalent sur trois semaines.

La trancheuse, machine impressionnante avance à la vitesse de 600 mètres par jour sur une distance de 2 kilomètres. Elle tranche et pose des câbles.

Simone Fourcaudot.

Simone Fourcaudot.
Simone Fourcaudot s’est éteinte samedi 9 Juin 2018, à la maison de retraite « Les Lavières » de Champlitte.

Issue d’une famille d’enseignants, Simone Cudrey nait le 10 Octobre 1929 à Leffond. Fille unique, elle grandit à Champlitte entourée de sa grand-mère et de ses parents, enseignants dans la cité. Après le cours complémentaire, elle part à Vesoul à l’école normale pour se préparer à son métier d’enseignante. Elle en sort en 1951.

Après avoir enseigné à l’école primaire de Membrey, elle revient en poste à Champlitte « au château », enseigner les maths, la musique…

Correspondante Croix-rouge, elle organise les dons du sang, les cours de secourisme. Elle dirige la chorale des élèves aux monuments lors des manifestations patriotiques.

Elle se consacre aussi aux fonctions de conseillère municipale avec René Henriot et se perfectionne pour tenir l’orgue à l’église lors des cérémonies chanitoises.

Mariée le 19 Juillet 1963 à Jean Louis Fourcaudot, veuf déjà et papa de Françoise…

Une fille, Claude nait de cette union en 1965.

Elle enseigne au Collège jusqu’en 1983 date à laquelle elle prend sa retraite. Elle consacre son temps libre à la musique, aux mots croisés et joue de l’orgue à la paroisse.

Enseignante qui a marqué des générations d’élèves, crainte et respectée, prof de maths, elle se souvenait de tous…

L’âge et la maladie ont eu raison d’elle à 88 ans…

Un nouveau départ.

Alcides Carneiro a fait valoir ses droits à la retraite.

Alcides Carneiro est arrivé en France en 1983, pour rejoindre son épouse.

Après 10 ans de maçonnerie au Portugal, il a tout quitté pour son épouse et vivre son rêve français.

En 1983, arrivé à Champlitte, il est directement employé par l’entreprise locale de maçonnerie Balloch. Alcides Carneiro a su vaincre tous les obstacles pour s’installer en terre chanitoise, la barrière de la langue a été franchie, les coutumes locales ont été adoptées.

De fil en aiguille, Alcides Carneiro a fondé une famille. Trois enfants ont comblé le couple de bonheur. La France est devenue la seconde patrie d’Alcides Carneiro. Il a poursuivi toute sa carrière de maçon en France.

Il a connu une seule entreprise avec au départ l’entreprise Balloch, dirigée par Arthur Balloch, puis l’entreprise Peltret-Balloch, dirigée par Raynald Peltret.

Alcides Carneiro, a tenu à remercier toutes les personnes qu’il a rencontrées au cours de sa carrière et ses patrons.

Lors de sa retraite, bien méritée, Alcides Carneiro compte regarder les rencontres de football, faire des séjours au Portugal, profiter de sa famille, jardiner, bricoler et profiter de la vie.

Murs et merveilles.

Murs et merveilles. Les papiers peints s’affichent.

L’inauguration de l’exposition « Murs et merveilles » du musée des Arts et traditions populaires Albert et Félicie Demard a permis de découvrir de véritables œuvres d’art.
Samedi, a eu lieu l’inauguration de l’exposition : « Murs et merveilles » au musée des Arts et traditions populaires Albert et Félicie Demard a permis de découvrir de véritables œuvres d’art.
L’an passé, les visiteurs ont découvert l’univers de la chasse et de la nature, cette année la thématique est réalisée autour des papiers peints.

Le château de Champlitte renferme dans ses murs le célèbre salon des papiers peints. D’ailleurs les Amis des musées départementaux se sont associés à l’expo temporaire « Murs et merveilles, le papier peint s’expose au château » en offrant un après-midi musical gratuit dans le cadre du salon des papiers peints.
Le salon est communément appelés « salon des papiers peints », du fait de son décor en plusieurs panneaux présentant : « Les sauvages de la mer du Pacifique. » Les dessins du papier peints sont signés Jean-Gabriel Charvet (1750-1829), dessinateur et designer français, né à Serrières (Ardèche) et élève de et élève de Donat Nonnotte, à l’école de dessin de Lyon.
En 1773, Charvet voyage en Guadeloupe pour le travail et reste 4 ans sur place où il réalise des œuvres sur la faune et la flore locale et réalise donc par la suite : « Les sauvages de la mer du Pacifique », un papier peint panoramique composé de 20 panneaux dans un style néo-classique décrivant les explorations de James Cook. Les représentations d’inspiration rousseauistes invitent au voyage. La forme arrondie du salon d’hiver est idéale pour cela. Cette série de panneaux qui sont à l’honneur au musée chanitois ont été édités en 1804 par la société Dufour et compagnie.
Cette exposition temporaire a lieu en partenariat avec le musée des papiers peints de Rixheim, le centre de documentation Joseph Dufour de Tramayes, et le château Saulx de Vesoul.

L’artiste, Caroline Desnoëttes, présenté ses papiers peints, véritables œuvres d’art. « Cascades », « Forêts tropicales » et « 24 heures », ont été un enchantement pour les yeux au public. Il s’agit d’une plongée immersive dans un univers rêvé et fantasmé. Le gang des chiffonières, collectif, d’habitantes-artistes s’est emparé de cette œuvre pour interroger notre part « sauvage » à la fois individuelle et collective.
Une application numérique permet de rendre les collections vivantes.

Anaïs et Antoine se sont dit oui.

Anaïs et Antoine.

Samedi, Joël Mazué, maire de Véronnes a uni par les liens du mariage Anaïs Bourlier, assistante de service social née le 7 octobre 1990 à Dijon et Antoine Perdry, ingénieur d’affaires, né le 21 septembre 1989 à Dijon. Tous deux, sont domiciliés à Véronnes. Les mariés se sont dit oui en présence de leurs témoins Marie Poulain, Richard Tacchini, Marion Pouzet et Fabien Cueff.
.