Vis ma vie de collégien

« Vis ma vie de collégien ».

Vis ma vie de collégien », est un tout nouveau dispositif porté par le Département, c’est une expérience inédite d’échanges entre collèges ruraux et urbains dans le département.

« Vis ma vie de collégien », prend la forme d’échanges scolaires au cours desquels les élèves s’immergent complètement dans l’univers de leurs camarades. Avec cette opération, le Département tient à favoriser les rencontres entre les jeunes côte-d’oriens vivant en ville et à la campagne et à créer du lien social entre les territoires de Côte-d’Or.
Mardi, au collège Henry Berger, l’établissement, a participé à l’opération Vis ma Vie de Collégien, proposée par le Conseil Départemental de la Côte d’Or. Cette opération est un échange entre deux classes de quatrième : la classe de 4ème B du collège Henry Berger, et une classe de 4ème 3 du collège Édouard Herriot de Chenôve. Parmi, les activités, un temps fort, la visite de la ferme de la Borde.
Annie Fournier, du Groupement agricole d’exploitation en commun (GAEC) de la Borde a présenté la ferme aux élèves. L’alimentation des vaches laitières a été présentée aux élèves par Vincent Fournier du GAEC de la Borde. Les vaches laitières ont été observées par les élèves. Un épis de blé a été montré aux élèves par Vincent Fournier, agriculteur à Fontaine-Française. Les impressionnantes balles de foin ont intéressé les élèves de quatrième. Annie Fournier a présenté le robot de traite.
Le lait de la ferme, est vendu à la laiterie Milleret à Charcenne (70) qui produit différents fromages. Les élèves ont pu déguster des fromages fabriqués avec le lait de production locale.
« L’exploitation agricole compte 70 vaches laitières, et produit 664 000 litres de lait par an. La ferme compte 300 hectares, dont 240 hectares consacrés aux céréales. Une vache laitière mange 2 kilos de foin tous les jours, 1 kilo de pulpe de betterave, 2 kilos de tourteau et 500 grammes de minéraux et bicarbonate et 100 grammes de sel. » : ont expliquer Annie et Vincent Fournier.
Ismaïl Faryssy, 14 ans, élève de 4ème 3 du collège Edouard Herriot confie : « C’était bien expliqué. C’est une grande ferme. Le robot de traite était impressionnant. »
Valentine Caisez, 13 ans, élève de 4ème 3 du collège Edouard Herriot confie : »C’est intéressant. Nous avons appris des choses. C’est la première que je visite une telle ferme. »

Ouverture en avant-première du Jardin du Petit-Lavoir.

Ouverture en avant-première du Jardin du Petit-Lavoir.

En avant première des « Rendez-vous au jardin » (samedi 8 et dimanche 9 Juin), le Jardin du Petit Lavoir de Bèze de Jackie Joron, a invité samedi et dimanche, les visiteurs à venir découvrir sa luxuriante végétation sur plusieurs niveaux au bord de la Bèze.

Plates-bandes fleuries et hostas sont une féérie. De nombreux arbustes (roses, viburnums, hydrangeas), arbres rares à écorce (Acer griseum, Prunus canescens, Betula Jermyn’s) ou à fleurs (Cornus florida, kousa et rutgan, Davidia involucrata) font la joie des amateurs.

Les visites ont lieu au profit de l’association Jardins et Santé qui a pour objectif de créer des jardins à but thérapeutique. Un projet existe afin d’humaniser l’environnement des patients, améliorer leur vie quotidienne et apporter un accompagnement et un soutien thérapeutique grâce au jardin et à la pratique du jardinage.

Les propriétaires du jardin du Petit ­Lavoir, ont su créer un jardin extraordinaire au pied du petit lavoir et non loin des sources de la Bèze, irrigué par l’ancien bief de la Bèze alimentant le lavoir.

Un véritable paradis des fleurs et des essences rares, attend le promeneur.

Tarif : 4 euros. Tel. : 03.45.84.90.59

Les Créations de Lilou.

Les Créations de Lilou.

Stéphanie Chenevière a fondé son activité à Sacquenay. Ses créations font la joie des petits et des grands.

Stéphanie Chenevière, habitante de Sacquenay, originaire d’Orain, est âgée de 43 ans, elle est devenue auto-entrepreneur récemment. Son entreprise est intitulée :  » Les Créations de Lilou. »

L’artisane a décidé de se mettre à son compte après avoir bien réfléchi. « Je travaille chez Intersport à Saint Geosmes (52) depuis 16 ans. Un jour ma fille Lilou m’a dit qu’elle aimerait bien se faire des boucles d’oreilles, donc je lui ai acheté du matériel et elle a su se fabriquer ses boucles d’oreilles. Je me suis mise à lui en fabriquer aussi. Je trouvais très sympathique de passer du temps avec elle. Cependant, un jour elle m’a dit bon maintenant c’est bon, j’en ai assez et elle a arrêté. Toutefois, il y avait du matériel. Alors je me suis décidée à m’installer en tant qu’auto-entrepreneur et de continuer et de développer cette activité. » : confie l’artisane.

Les créations peuvent-être personnalisées avec des photos choisies par les clientes, Stéphanie Cheneviere met ces photos en forme informatiquement et enfin conçoit alors un bijou. Par choix, Stéphanie Cheneviere pratique des petits prix. « Les créations sont avant tout une passion, vu les prix que je pratique. Mon objectif est qu’un enfant puisse acheter un cadeau à offrir par exemple à sa maman avec son propre argent » : précise la créatrice de bijoux .

Des créations naissent selon l’inspiration de l’artisane. « Je fais principalement des créations avec des demi-sphères en verre, des cabochons, des porte-clés , colliers, stylos, et magnets de frigo. Je fais également des sautoirs, des boîtes à dents et des miroirs. » : souligne Stéphanie Cheneviere.

Stéphanie Chenevière souhaite faire connaitre ses créations. « J’organise un marché artisanal le dimanche 19 mai à Selongey au garage Renault Naigeon-Theurel. Il y aura un camion à pizzas cuite au feu de bois ainsi qu’un brasseur qui vendra sa bière en guise de buvette et Roger Flocard de Sacquenay vendra ses sirops. Le marché a lieu de 9 h 30 à 18 heures  » : note l’habitante de Sacquenay.

Un jeune homme passionné.

Un jeune homme passionné.

Quentin Gorrevod, de Chazeuil, est âgé de, 17 ans, il est scolarisé au lycée d’horticulture et du paysage de Fayl-Billot (52), il est passionné de politique et engagé pour la sauvegarde du patrimoine local.

Quentin Gorevod parle avec passion de son intérêt pour la politique : « En juillet dernier, j’avais 16 ans, j’ai écrit une lettre au député Jean Lassalle puisque j’ai été assez interpelé sur la puissance des lobbys sur la société et surtout les politiciens. J’ai donc fais part au député de ma vision de la France, la puissance des lobbys et la vision chez les jeunes de la politique actuelle. J’ai ensuite été contacté par une collaboratrice de Jean Lassalle, m’invitant à venir m’entretenir avec le député, visiter l’Assemblée nationale et participer à une séance de questions au gouvernement. Je serai très bientôt inscrit sur les listes électorales et je me sens totalement perdu face à des partis politiques tout plus farfelus les uns que les autres. » : confie le lycéen.

Quentin Gorrevod ne s’intéresse pas uniquement à la politique, il s’engage au quotidien dans la vie associative locale. « Je fais partie du foyer rural de Chazeuil, je fais partie du bureau de l’association des élèves de mon lycée et je suis secrétaire adjoint de l’association Les Pierres Chazubéennes. » : explique le jeune bénévole.

Son amour du patrimoine local le pousse à participer à sa restauration. « Je me suis engagé dans les pierres Chazubéennes car j’aime mon village, son historique culturel et son patrimoine architectural. Voir son patrimoine se dégrader sous ses yeux et ne rien faire devenait insupportable et j’ai donc décidé avec les 6 autres membres du bureau de créer l’association en début d’année. C’était donc un devoir pour moi d’aider à la restauration et la sauvegarde du patrimoine. Dans l’association on retrouve tous les âges, je suis le plus jeune et les plus âgés ont entre 80 et 90 ans. Tout le monde est différent et chacun apporte une touche d’originalité. L’association rassemble beaucoup de talent, d’énergie et de volonté pour la restauration du patrimoine de Chazeuil. » : note le lycéen.

L’intérêt du jeune homme pour la politique et son engagement pour la sauvegarde du patrimoine ne doivent âtre mélangés selon lui. « Il ne faut pas confondre l’association et mon invitation par Jean Lassalle. » : glisse Quentin Gorrevod.

La générosité des sorciers (partie 1).

La générosité des sorciers.
Les habitants de Saint-Maurice-sur-Vingeanne, sont les Vingeannimauriciens , cependant on les surnomme les sorciers.
Les sorciers sont le surnom également des habitants de Chalindrey (52), d’Antheuil (21), et il y a aussi les sorcières de Mâlain (21).
C’est les habitants des villages environnants qui ont surnommés les habitants de Saint-Maurice-Vingeanne, les sorciers. Lors de la Feulère, le premier dimanche de Carême, les habitants de de Saint-Maurice-sur-Vingeanne, allumaient des feux de bordes. Les habitants des villages environnants disaient c’est encore un coup des sorciers de Saint-Maurice. La feulère, était une coutume locale, les jeunes mariés de l’année devaient sauter par-dessus le feu. On observait la direction du vent, on disait que c’était le vent de l’année.
Les habitants de Saint-Maurice-sur-Vingeanne, les sorciers donc, auraient la vertu d’être généreux parait-il. Nous l’avons vérifié.
On peut attirer l’attention du lecteur sur la valeur des sommes mentionnées ci-dessous. Le franc a connu des variations considérables. Pour se faire une idée, le salaire de l’instituteur est de 682,10 francs en 1856, soit moins de 57 francs par mois. 1 francs de 1901 équivaut à 13 francs de 1992.
Cette générosité se manifeste par une offrande patriotique mise à disposition du comité de défense nationale le 19 septembre 1870. Mais aussi par le remboursement à un aubergiste du village des dépenses occasionnées par les passages des Mobiles de la Loire le 7 novembre 1871.
La commune de Saint-Maurice-sur-Vingeanne a contribué à l’érection de monuments aux morts de la guerre de 1870.
La commune de Saint-Maurice-sur-Vingeanne a donné 10 francs pour le monument érigé à Pasques (21) sur la tombe des braves de l’armée des Vosges morts au champ d’honneur en 1870. Ce don a été fait le 15 octobre 1890.
5 francs ont été donnés pour le monument de Talant (21) en mémoire des combats du 23 février 1871. Ce don a été effectué le 15 novembre 1891.
5 francs ont été donnés pour l’érection d’un monument commémoratif à la gloire des défenseurs de Belfort. Il ne s’agit pas du Lion de Belfort. Mais, il s’agit du monument des Trois sièges, (1813-1815-1871), conçu par Bartholdi.
La commune a donné 10 francs pour la construction d’un monument à Garibadi à Dijon. Giuseppe Garibaldi est né Joseph Marie Garibaldi le 4 juillet 1807 à Nice (Empire français) et mort à Caprera (royaume d’Italie) le 2 juin 1882, est un général, homme politique et patriote italien. Il est considéré, avec Camillo Cavour, Victor-Emmanuel II et Giuseppe Mazzini, comme l’un des « pères de la patrie » italienne. Nice est redevenue française en 1860, c’est aux côtés des français qu’il a participé aux combats de 1870, avec ses Carbonari. Mon arrière-grand-mère, la Lucie Tarboché disait : Vient avec moi, les Carbonari ne viendront pas nous prendre ! ». En effet par peur des Carbonari, les enfants de la rue de l’Outre étaient montés avec leur grand-mère au-dessus de la chambre à four de chez Brûlé.
La commune participe à l’érection d’un monument en l’honneur de Sadi Carnot à Dijon.
Un astronome français, a bénéficié de la générosité du conseil municipal : Félix tisserand (1845-1896) : il étudia le système solaire et rédigea une mise à jour de l’œuvre de Laplace. (Traité des mécanismes célestes). Le monument se trouve à Nuits-Saint-Georges.

Le restaurant : « Le 23 », fête ses 5 ans.

Le restaurant : « Le 23 », fête ses 5 ans.

Christophe Dufrenez et Nicolas Le Caro accueillent le public depuis 5 ans au sein de leur restaurant à Montigny-sur-Vingeanne, commune de Montigny-Mornay-Villeneuve. La vie du restaurant de Christophe Dufrenez et Nicolas Le Caro, regorge d’anecdotes. Les cinquante ans de mariage de Denis et Jocelyne Chauve, les quatre-vingt ans de Jean Goudot, le repas des ainés de la commune, ont marqué la vie du restaurant.
« Denis chauve est un ancien conseiller municipal, Jean Goudot est l’ancien cantonnier de la commune, avec son épouse, il nous a toujours aidés et soutenus. Cela compte beaucoup pour nous. Des touristes belges sont devenus des fidèles, ils font étape chez nous.» : confie Christophe Dufrenez.
Pour fêter les cinq ans d’anniversaire de leur restaurant, Christophe Dufrenez et Nicolas Le Caro, ont organisé un jeu avec tirage au sort, ouvert à tous, afin de gagner un diner pour deux au champagne, suivi d’une nuit en chambre d’hôtes avec petit déjeuner offert au 23.
Pour participer, il suffit de remplir un bulletin d’inscription et de le déposer dans l’urne prévue à cet effet, c’est bien en tendu sans obligation d’achat.

Une boutique avec dépôt vente de produits artisanaux et locaux est présente au sein du restaurant : « Le 23 » à Montigny-Mornay-Villeneuve. Il s’agit des produits exposés au restaurant, provenant du collectif Fabrik&sens, c’est un collectif d’artisanes. Ce collectif compte 7 artisanes, cependant il reste ouvert aux hommes. Aux biscuits contés de Marie-Laure Gagnepain de Chazeuil, l’Atelier Califourchon d’Angélique Carboni de Sacquenay, La Céramique Historique de Pernette Bétrancourt de Courcelle Val d’Esnom (52), 5 doigts et Fantaisies de Bérengère Robin de Fontenelle, Marie Framboisine de Françoise Cadic tapissière d’Attricourt (70), Cécile Peres avec EnJeux et Créations d’Attricourt (70), et Brocante et Patines d’Ellen Prudhommeaux font partie du collectif Fabrik&sens.
« Nous faisons dépôt vente pour promouvoir l’artisanat local, depuis 2014, les clients peuvent faire des cadeaux à des proches ou à eux même , les clients adore ce service, en gros 6 personnes sur 10 regarde les articles proposés; » : explique Christophe Dufrenez . »
Téléphone : 03.80.75.99.15.

Odette Pignet, une centenaire alerte.

Odette Pignet, une centenaire alerte.

Odette Pignet est une centenaire, autonome, elle a été fêtée dans sa commune.

Samedi, à la salle des fêtes de Dampierre-et-Fley, la municipalité a rendu hommage à Odette Pignet, centenaire du village. Roland Chapuis, maire de la commune, a retracé son parcours et lui a offert un bouquet de fleurs et un cadeau au nom de la municipalité. Ce cadeau était un four micro-ondes.
Odette Pignet est née le 21 aout 1918, à Amfreville-sous-les-Monts (Eure). Odette Pignet, est autonome, elle cuisine, et fait son ménage. Elle a travaillé dès son plus jeune âge. Elle s’est mariée en 1936, avec André Pignet, qui effectuait alors son service militaire. Au départ, elle était aide-ménagère, et son mari, employé chez Electrolux à Rouen. André et Odette Pignet sont arrivés à Dampierre-et-Fley, en 1938. Le couple s’est installé sur une petite ferme au village avec les parents d’André Pignet. Puis, ils sont repartis en Normandie, travailler dans les bureaux. Revenus, en Côte d’Or, André, a travaillé à la forge de Loeuilley (70), toute proche. Odette travaillait chez les gens, faisait des ménages et s’occupait du linge. Odette Pignet a tenu 29 ans et demi, l’écluse de Licey-sur-Vingeanne. Cette centenaire très active, fait partie du club, le Fil d’argent de Champagne-sur-Vingeanne.
Odette et André Pignet, ont eu deux enfants, Mireille Simon, née Pignet, en 1936, qui habite à Dijon, et Bernard Pignet, né en 1943, qui habite à Blagny-sur-Vingeanne.
Odette Pignet est entourée de 13 petits-enfants, 23 arrière-petits-enfants, 23 arrière-arrière-petits-enfants.
.

Les saints intercesseurs à Orain, dans la deuxième moitié du XIXème siècle et au début du siècle dernier à Orain.

Les saints intercesseurs à Orain, dans la deuxième moitié du XIXème siècle et au début du siècle dernier à Orain.
Saint Antoine de Padoue, était souvent invoqué, surtout quand on perdait quelque-chose, dans les familles autrefois. Par dévotion, la mère d’Anne-Antoinette Pascard, avait offert une statue de Saint Antoine de Padoue à l’église saint Bénigne d’Orain.
Le curé Augustin-Jacques Burtey, desservant Orain, devait sa vocation au saint curé d’Ars. Le 12 juin 1925, six jours après la canonisation de Jean-Marie Vianney, une des fenêtres de l’église d’Orain était consacrée au curé d’Ars. Le vitrail mesure un mètre de diamètre. Le saint curé est représenté la tête auréolée, avec ses abondants cheveux longs et blancs, son visage aminci et amaigri par le jeûne. Les mains égrènent le chapelet. Il porte son surplis, son étole et son bréviaire.
Orain a fait preuve de piété envers Jean-Marie Vianney, et de reconnaissance envers Augustin-Jacques Burtey, curé d’Orain. Jean-Marie Vianney, dit le Curé d’Ars ou le saint Curé d’Ars, est né le 8 mai 1786 à Dardilly (près de Lyon), et mort le 4 août 1859 à Ars-sur-Formans (Ain). Il a inspiré de nombreux prêtres dont l’abbé Augustin-Jacques Burtey. C’est à ce dernier que l’église d’Orain, doit de nombreuses ornementations. Ce prêtre a beaucoup œuvré pour la restauration du culte à Notre-Dame-d’Illy. Augustin-Jacques Burtey, avait été surnommé : « Le recruteur des séminaires ». Je ne sais pas si le curé Badet, le curé Pascard, et le curé Charle, lui devaient leurs vocations. Les deux premiers étaient d’Orain et le troisième de Sacquenay. Le curé Charle était de Sacquenay, il avait été nommé à Agey (21) et avait su réconcilier les habitants du village au début du XXème siècle. N’oublions pas le curé Sauvageot et le chanoine Monvoisin de Saint-Maurice-sur-Vingeanne.
Le vitrail du curé d’Ars est issu du travail de Defrance et Thénot et a couté 300 francs. Defrance et Thenot est un atelier de, peintre-verrier.

Des noces de diamants dignement fêtées.

Des noces de diamants dignement fêtées.

Toute une famille s’est réunie pour fêter des noces de diamants à la salle des fêtes.
Samedi, à Véronnes, Louis et Jeanne Cornut ont fêté leurs 60 ans de mariage entourés de leur famille. Louis Cornut est né le 12 février 1930, et Jeanne Cornut est née le 18 février 1936. Le couple s’est marié le 2 aout 1958. 6 filles et un garçon sont nés de cette union. Louis était agriculteur à Saulieu, et Jeanne était infirmière à Saulieu également. Ensuite le couple a pris une ferme à Moulins (89). Après de nombreuses années, ils ont arrêté cette activité agricole. Ils ont fait construire une maison à Neuilly-les-Dijon. Louis travaillait à la Coter, puis à la Lyonmate à Lyon (69). Jeanne s’occupait des enfants. Arrivés à la retraite, ils sont partis habiter à Frontignan, où ils résident toujours.
Ce samedi, ils ont fêté leurs 60 ans de mariage, entourés de leurs 6 filles et de leur garçon, ainsi que leurs conjoints, leurs 23 petits-enfants, et de leurs 14 arrière-petits-enfants.
Une pensée est venue de la part de la famille pour Philippe, le compagnon d’une des filles, décédé il y 15 mois.

L’Attribudu quoi fait son cirque.

L’Attribudu quoi fait son cirque.

L’École des 3 Arts propose un atelier dédié aux arts du cirque dans les locaux de la communauté de communes du Mirebellois et Fontenois. à Fontaine-Française, avec une école professionnelle de cirque : L’Attribudu quoi, qui vient d’être fondée à Dole (39). Cette activité est ouverte à tous. Une vingtaine d’inscription ont déjà eu lieu. Le professeur de cirque, Valentin Chevrot, 22 ans, est initiateur aux arts du cirque. Les cours sont axés principalement sur la jonglerie, cependant l’équilibre sur objet, les portés, l’expression, le mime et le clown ne sont pas oubliés.

Des cours de danse et de guitare seront proposés également à Fontaine-Française par L’École des 3 Arts. Les cours ont lieu tous les mardis dans les locaux de la communauté de communes du Mirebellois et Fontenois à Fontaine-Française, Les jeunes enfants de 4 à 7 ans sont accueillis de 17 h 30 à 18 h 30. les 8-11 ans sont accueillis de 18 h 30 à19 h 30, les adolescents et les adultes : de 19 h 30 à 20 h30. Contact : Stéphanie Martenot : 03.80.36.21.11 ou Patrice Drouart, directeur de l’école des 3 arts : :03.80.36.50.49